Les casablancais auront eux aussi la chance de danser et chanter sur les tubes de Maître Gims. En effet, l’infatigable faiseur de tube donnera un concert Vendredi 30 septembre 2016 au Complexe Mohammed V.
Maître Gims est un amoureux du Maroc, il y vit d’ailleurs une bonne partie de l’année. Il ne pouvait pas ne pas offrir à ses fans de Casablanca l’occasion d’assister à un de ses concerts.
Petits et grands pourront ainsi danser et chanter sur les nombreux tubes qui ont rythmés les ondes radio ces dernières années : “J’me tire”, “Bella”, “Est-ce que tu m’aimes”…
Un grand moment pour ses fans…
Météo du JOUR du Riad Dar Khmissa Marrakech
Prévision météorologique du:
DIMANCHE 25 SEPTEMBRE 2016
35° Ressentie à Marrakech City
Aujourd’hui à Marrakech il fera beau.
Soleil le matin, ensoleillé malgré quelques nuages élevés l’après-midi.
Pas de précipitations.
Vent faible.
Cette nuit ciel clair.
Vent faible.
Bon Dimanche à tous et toutes
Amicalement
Vincent Jonca
www.dar-khmissa-marrakech.com
Riad Dar Khmissa dans la médina de Marrakech un havre de paix à l’état pur
Située à une dizaine de kilomètres de Sidi Ifni, la plage de Legzira , classée à la 29e place parmi les 40 plus belles plages du monde, vient de perdre son monument historique.
Ce vendredi, plusieurs photos montrant ce qui restait du fameux rocher creusé dans la terre rouge, ont être relayées sur les réseaux sociaux.
Selon plusieurs habitants de la région, une partie de l’arche s’était déjà écroulée en mars dernier. Des fissures au niveau du Rocher, qui ont tenu près de six mois, ont aussi été signalées avant de s’effondrer ce vendredi.
Attristés par cette perte, les internautes n’ont pas manqué de faire part de leur émoi en partageant en masse les photos de l’arche sur les réseaux sociaux.
À six semaines de l’ouverture du sommet onusien sur le climat, les élus de la Ville ocre et le comité de pilotage de l’événement sont sur tous les fronts.
Revue de détail.
À Marrakech, c’est déjà la course contre la montre. Dans quelques semaines, la ville touristique la plus célèbre du royaume sera le centre du monde. Des dizaines de chefs d’État sont attendus pour la 22e session de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP22). Pour accueillir cette grand-messe de l’écologie, où l’on discutera et décidera de l’avenir de la planète, la Ville ocre passe sous le signe du « tout vert ». De nombreux chantiers « green friendly » sont en cours de finalisation pour être opérationnels avant l’ouverture de l’événement, le 7 novembre.
Ouverture de Marrakech à des énergies propres
« C’est l’occasion pour le Maroc – et Marrakech – de démontrer sur le terrain sa capacité de traduire en projets concrets ses engagements dans le domaine environnemental », explique Ahmed El Moutassadek, adjoint au maire de Marrakech chargé des affaires écologiques.
Parmi les chantiers les plus attendus par les Marrakchis, la mise en circulation d’un nouveau parc de bus électriques. Quinze véhicules sortis des usines du chinois Yangtse ont embarqué à destination du royaume le 27 août. « La mise en service est prévue au plus tard début octobre, après quelques semaines de tests. Nous sommes en train de finaliser, d’ailleurs, les derniers travaux sur la voie consacrée à ces bus », précise l’adjoint au maire.
Autres changements attendus dans le décor urbain de Marrakech : le renouvellement du parc d’éclairage public des 60 000 points lumineux (dont 10 000 avant la COP), l’introduction d’un service Vélib’ (300 pour un démarrage imminent), ou encore la mise à niveau de 22 jardins pour en faire des parcs écologiques.
Les centres névralgiques de Marrakech se mettent aussi au diapason de l’efficacité énergétique. L’Office national des chemins de fer s’est ainsi engagé à réduire de moitié la facture énergétique de la gare de la ville en installant des panneaux solaires. Et des projets encore plus structurants sont attendus pour bientôt, comme cette station électrique fonctionnant au biogaz extrait de l’ancienne décharge de Marrakech.
Quelques chantiers encore en travaux
D’un coût de quelque 30 millions de dirhams (2,7 millions d’euros), ce projet de transformation de déchets organiques et ménagers en énergie électrique a pris du retard par rapport au calendrier initial, qui prévoyait un démarrage en août. Mais les responsables se montrent optimistes : « C’est en bonne voie. Le premier kilowattheure devrait être injecté dans le réseau de la ville avant le démarrage de la COP », assure Hakima El Haité, ministre de l’Environnement et désignée en mai « championne du Maroc pour la lutte contre le changement climatique ».
Le plus grand chantier de la COP reste néanmoins le site sur lequel se tiendra l’événement. À Bab Ighli, non loin du centre-ville, le ballet des engins est incessant depuis mai dernier, date à laquelle ce marché de 35 millions d’euros a été attribué à un consortium piloté par le français GL Events. « Malgré les délais serrés, les travaux avancent selon le calendrier prévu, et nous aurons un site livrable vers le 15 octobre », se félicite Abdelaâdim El Hafi, commissaire de la COP22.
Le chantier a cette particularité qu’il doit être réalisé de manière à minimiser les émissions de gaz à effet de serre. L’ONU tient en effet à une neutralité carbone de l’événement, qui doit d’ailleurs présenter son bilan environnemental. « Que ce soit dans la construction et l’aménagement du site, dans son alimentation électrique ou encore dans la restauration et les déplacements des participants, nous avons veillé à maîtriser notre coût carbone », ajoute le commissaire de la COP22.
Ce membre du comité de pilotage de l’organisation de l’événement (dream team réunissant plusieurs personnalités et présidée par les ministres de l’Intérieur et des Affaires étrangères) enchaîne les réunions et les visites de terrain avec le secrétariat exécutif de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) pour les tests de faisabilité et les derniers réglages logistiques : visas, transport, hébergement, attribution des espaces…
Les hôtels font déjà peau neuve
C’est qu’une participation massive est attendue pour ce rendez-vous mondial de l’écologie. « Que ce soit dans la zone bleue, consacrée aux pays et gérée par l’ONU, ou encore dans la zone verte, ouverte aux entreprises et à la société civile, tous les espaces sont aujourd’hui réservés », assure Abdelaâdim El Hafi. Au total, ce sont quelque 160 000 m2 d’espaces d’exposition qui sont prévus lors de cet événement, auquel devraient participer plus de 25 000 personnes. Pour accueillir tout ce beau monde, tous les palaces de Marrakech sont « réquisitionnés » pour la durée de la COP, au grand bonheur des hôteliers.
« En plus, l’organisation d’un tel événement à Marrakech a accéléré le processus de mise à niveau des établissements hôteliers de la ville aux normes environnementales. Plusieurs hôtels ont d’ailleurs décroché ces derniers mois le label “clé verte”, attribué selon des standards écologiques bien précis », souligne Hamid Bentahar, président du Conseil régional du tourisme.
Mais, au-delà de l’aspect purement organisationnel, le Maroc aspire à réussir l’événement sur le plan politique. Depuis plus d’un an, les responsables du royaume, notamment Hakima El Haité, sont sur tous les fronts pour rassembler un maximum d’adhésions autour de l’accord de Paris.
« Le Maroc a l’ambition d’abriter une COP où la feuille de route de la mise en place de l’accord pourra être déclinée afin d’accélérer l’action climatique bien avant 2020 », explique cette dernière. Pour défricher le terrain, pas moins de 140 délégués, issus de 50 pays, se sont donné rendez-vous le 9 septembre à Skhirat (30 km de Rabat) pour négocier, dans un cadre informel, les futures résolutions du sommet de Marrakech.
Patricia Espinosa, nommée en mai secrétaire exécutive de la CCNUCC, sera également du voyage pour mener elle-même ces tractations, qui se dérouleront à huis clos. Mais aussi pour s’enquérir sur le terrain des préparatifs de Marrakech… la verte.
Les ONG au cœur du dispositif ?
«Si le Maroc n’a pas attendu la COP pour s’inscrire dans une démarche de développement durable, l’événement est une occasion inouïe pour échanger les expertises et étendre notre réseau à l’international. » Ainsi Mehdi Alaoui Mdaghri, président de Planète citoyenne, résume-t-il les enjeux de la COP22. L’ONG qu’il a créée en 2009 organise chaque année deux événements liés à la protection de l’environnement qui ont déjà été labellisés « COP22 ».
L’un d’entre eux, le Morocco Solar Festival, tiendra sa troisième édition à Ouarzazate (devenue capitale de l’énergie solaire au Maroc à travers le projet Noor) trois semaines avant le sommet mondial. « Nous avons bien évidemment profité de l’effet COP pour attirer plusieurs participants qui seront à Marrakech », ajoute Alaoui Mdaghri.
On recense par ailleurs, selon le ministère de l’Environnement, une centaine de projets qui ont reçu le label « COP22 ». Et les réservations de stands sur le site de Bab Ighli s’enchaînent ces dernières semaines pour satisfaire les ONG participantes. Au sein du comité de pilotage de l’événement, tout un pôle est consacré à la société civile. Mais des figures du monde associatif déplorent toujours une certaine marginalisation des associations.
« Il n’y a malheureusement pas de coordination avec les ONG, qui ont besoin de soutien pour contribuer encore plus à la réussite de l’événement », lance Noureddine Ayouch, publicitaire et surtout président-fondateur de la Fondation Zakoura, qui depuis des décennies œuvre dans le domaine de l’éducation.
Par Fahd Iraqi – à Casablanca
Marrakech abrite la Conférence internationale sur l’environnement et le comportement humain
Une conférence internationale sur l’environnement et le comportement humain, aura lieu le 28 octobre à Marrakech sous le thème “Environnement et comportement humain: Approches sociologiques et psychologiques”.
Organisée par une équipe de recherche “Santé, jeunesse et travail” relevant de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Marrakech, en partenariat avec “L’Observatoire-Marrakech de la sociologie”, cette conférence qui s’inscrit dans le cadre de la semaine scientifique de l’Université Cadi Ayyad sur “Le climat et l’environnement” et dans le cadre de la COP 22, s’assigne pour objectif d’interroger le rapport et l’influence réciproque entre l’environnement et le comportement humain, selon le comité d’organisation.
Cette interaction est à l’origine des phénomènes et problèmes auxquels sont exposées les sociétés peu ou prou-développées, ont souligné les organisateurs, ajoutant que l’être humain exerce une influence sur la conservation ou la destruction de l’environnement, et par conséquent, il subit les effets de ses propres actions sur le plan sanitaire, économique et psychologique. Cette rencontre scientifique constitue une occasion pour poser plusieurs questions fondamentales, à savoir: peut-on non seulement expliquer les facteurs de la protection ou de la destruction de l’environnement mais accentuer et renforcer aussi les comportements pro-environnementaux ? Quels rôles peuvent jouer les agents de la socialisation dans l’intériorisation et l’internalisation des valeurs liées à l’environnement?
Lors de cette conférence, les participants débattront de plusieurs thèmes portant sur “l’environnement et cognition sociale”, “l’environnement, comportement et socialisation”, “la maladie, santé et environnement”, “l’influence, engagement et changement des comportements”, “la culture, croyances et pratiques sociales liées à la gestion quotidienne de l’espace”, “les normes, contre-valeurs et problématique de la qualité de l’environnement” et “la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et environnement”.
Du 1er au 30 septembre à Marrakech, une exposition de photographies de Yann-Arthus Bertrand illustre des projets écologiques mis en œuvre un peu partout dans le monde. A ne pas rater !
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Si vous êtes de passage à Marrakech dans les prochains jours, courez voir cette belle exposition de photographies de Yann-Arthus Bertrand tirées de son ouvrage « 60 solutions face au changement climatique ». Organisée par la Société Générale Maroc, l’Agence Française de Développement (AFD) et réalisée en partenariat avec la Fondation GoodPlanet et l’Institut français du Maroc, elle met en avant des projets illustrant des solutions concrètes en faveur d’un modèle de croissance sobre en carbone.
Se déclinant autour de 4 thématiques : « Vivre ensemble », « Nourrir le monde », « Efficacité énergétique » et « S’adapter », le parcours proposé met en exergue l’importance de la lutte contre le dérèglement climatique par la mise en œuvre de solutions offrant des bénéfices majeurs en termes de croissance, d’emploi et de qualité de vie.
8356919-13096377.jpgOuverte au public, l’exposition se situe à l’espace d’art de la Société Générale au 58 rue de Yougoslavie, Guéliz, Marrakech.