C’EST LA VIE
Des parents qui sont passés par là racontent
Au cas où vos enfants commenceraient à ne plus y croire.
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Comment dire la vérité sur le Père Noël à vos enfants? Des parents qui sont passés par là expliquent
PÈRE NOËL – A mesure que les enfants qui croient au Père Noël grandissent, leurs parents sont amenés à se poser des questions délicates: cesseront-ils d’y croire cette année? Comment leur expliquer la vérité sans les priver de la “magie” des fêtes?
Nous avons demandé aux parents lecteurs du HuffPost s’ils avaient déjà eu cette fameuse discussion avec leurs enfants. Si quelques-uns des papas et mamans qui fêtent Noël nous ont assuré n’avoir jamais raconté à leurs enfants qu’un homme descendait par la cheminée pour leur apporter des cadeaux (tout en les encourageant à préserver l’esprit de Noël pour les autres), certains nous ont fait part d’adorables anecdotes sur la façon dont ils ont dit la vérité à leurs enfants.
Voici 11 réponses à la question “Est-ce que le Père Noël existe?” (et quelques réactions amusantes en prime).
Il vit dans les pensées et dans le cœur de tous ceux qui se montrent généreux envers les autres.
“J’ai dit à mes enfants que le Père Noël existait, mais pas de la façon dont on se l’imagine. Il vit dans les pensées et dans le cœur de tous ceux qui se montrent généreux envers les autres. En faisant ça, ils transmettent à leur tour l’esprit de Noël. Mes enfants ont aujourd’hui la vingtaine et si vous leur posez la question, ils répondront fièrement qu’ils croient au Père Noël.”
― Angela Robbins
C’est amusant et ça rend Noël magique.
“Mon aîné avait 8 ans. Il devenait curieux et a commencé à poser des questions. Après lui avoir dit qu’on avait le choix d’y croire ou non, je lui ai demandé: ‘Et toi, qu’est-ce que tu en penses et qu’est-ce que tu ressens?’ Il m’a répondu qu’il pensait que ce n’était pas vrai. A son avis, c’était son papa et moi qui étions le Père Noël. Je lui ai dit que c’était amusant, que ça rendait cette nuit magique, que son père et moi adorions les surprendre le lendemain matin, et qu’il fallait qu’il nous aide à préserver cette part de magie parce que ses sœurs croyaient toujours au Père Noël. Il a été vraiment génial. Il joue toujours le jeu!”
― Teresa Ingram
Il a eu l’air soulagé de voir qu’il avait vu juste.
“Mon fils de 9 ans m’a demandé, ‘Est-ce qu’il existe, le Père Noël? Si c’est non, c’est pas grave.’ Je lui ai dit que non, que c’était Papa et Maman qui achetaient les cadeaux et qui les mettaient au pied du sapin, mais qu’il existait en tant que symbole de Noël, le symbole du don. Nous avons aussi parlé des lutins du Père Noël, des cloches de Pâques et de la petite souris. Il a eu l’air soulagé de voir qu’il avait vu juste mais il m’a dit qu’on pouvait quand même écrire ‘de la part du Père Noël’ sur quelques cadeaux!”
― Jessica Waagner
On lui donne un coup de main pour diffuser son message d’espoir, de bonne volonté et d’amour.
“Mon fils aîné, qui avait 10 ans à l’époque, a posé la question pendant le cours de karaté de son petit frère. D’abord, je lui ai juste demandé son avis, comme je l’avais déjà fait, et il a répondu qu’il ne savait pas.
Après avoir mis son frère au lit, mon mari et moi lui avons parlé seul à seuls. Je lui ai confirmé que c’était nous qui mettions les cadeaux au pied du sapin.’ Il s’est mis à pleurer. J’ai ajouté: ‘Mais ça ne veut pas dire que le Père Noël, c’est Papa et moi. On lui donne un coup de main pour diffuser son message d’espoir, de bonne volonté et d’amour.’ On a aussi parlé de l’origine de la légende du Père Noël (il est passionné d’Histoire) et il a très bien réagi.”
― Meaghan Greenleaf Wildes
J’ai été honnête avec son frère et lui, mais je leur ai fait promettre ne pas gâcher le plaisir des autres.
“Mon fils de 8 ans commençait à avoir des doutes l’an dernier. Alors, pour vérifier son hypothèse, il a caché les biscuits destinés au Père Noël. Il a dit que si personne ne les mangeait, il saurait que le Père Noël n’existait pas. J’ai passé une heure au beau milieu de la nuit à chercher ces fichus biscuits, mais en vain. Je lui ai dit que le Père Noël n’avait peut-être pas voulu les chercher ou qu’il avait cru que mon fils n’en avait pas fait.
Finalement, six mois après, il m’a carrément posé la question et j’ai été honnête avec son frère et lui, mais je leur ai fait promettre de ne pas gâcher le plaisir des autres. Et puis, il y a quelques semaines, ils se sont mis à se demander comment Papa et Maman faisaient pour mettre tous ces cadeaux en place, garder tous ces secrets et choisir des cadeaux aussi géniaux. Je crois que je les ai impressionnés.”
― Teri Davis
C’est quelque chose qu’ils peuvent répondre à un ami qui essaierait de leur gâcher le plaisir d’y croire.
“J’ai quatre enfants, et je suis enseignante en primaire. Tous les ans, les enfants posent des questions sur le Père Noël à l’école. Ce que je réponds habituellement à ces petits de 9 ou 10 ans, c’est: ‘Si tu crois au Père Noël, il croira aussi en toi.’ Apparemment, ça marche. Et c’est quelque chose qu’ils peuvent répondre à un ami qui essaierait de leur gâcher le plaisir d’y croire.”
― Vicki Thompson Paris
Maintenant, c’est elle qui tient le rôle du Père Noël et de la petite souris pour sa sœur.
“J’ai parlé à ma fille de l’esprit de Noël et du fait de devenir elle-même le Père Noël. Elle allait avoir 8 ans, et elle répétait déjà qu’il n’existait pas et qu’elle le savait. J’ai supposé que des camarades de classe le lui avaient dit. Elle m’a tellement convaincue de dire à toute la famille qu’elle n’y croyait plus qu’un soir j’ai décidé de lui montrer comment d’autres pays et d’autres cultures voyaient le Père Noël, avant de lui proposer de devenir celui de quelqu’un d’autre.
Pour finir, je lui ai demandé si elle avait aimé y croire et si elle pensait qu’on devait continuer à le faire croire à sa petite sœur de deux ans. Elle a réfléchi un moment et m’a répondu que même si elle n’était pas contente qu’on lui ait menti sur la petite souris et le Père Noël, elle aimait bien rester éveillée pour tenter de les surprendre. Maintenant, c’est elle qui tient le rôle du Père Noël et de la petite souris pour sa sœur, parce qu’elle ne me trouve pas assez convaincante! Elle pense être capable de cacher son identité secrète mieux que je ne l’ai fait avec elle.”
― Jenn Aguilar
Il a conclu la discussion en disant très gentiment: “Merci de m’avoir dit la vérité sur le Père Noël, Maman.”
“Un soir, pendant que je bordais mon petit bout de chou, il m’a demandé: ‘Est-ce que le Père Noël existe?’ Je suis restée interloquée un instant, et puis je lui ai demandé ce qu’il en pensait. ‘Il y a des gens qui disent qu’il n’existe pas, mais moi je l’ai vu. Je crois que toi, moi, Buela [sa grand-mère] et mes cousins, on est les seuls à y croire encore.’
Alors je lui ai expliqué qu’il y a très longtemps, un homme distribuait des cadeaux aux enfants, et que son esprit vivait encore aujourd’hui en chacun de nous (pour paraphraser légèrement). Il m’a regardé quelques secondes et a fondu en larmes. ‘Tu veux dire qu’il est mort?’ a-t-il sangloté.
Argh… J’avais complètement raté mon coup. On a parlé un petit moment, et il s’est apaisé. Il a conclu la discussion en disant très gentiment: “Merci de m’avoir dit la vérité sur le Père Noël, Maman. Je t’aime’. Ouf!”
― Selma Altas
Ils participent à la magie et au plaisir de la fête. Devenir soi-même le Père Noël, c’est top!
“On passe de la croyance en l’existence du Père Noël à l’idée de devenir un lutin, et d’aider à répandre la générosité, l’amour et l’esprit de Noël en créant nous-mêmes cette magie. Dès qu’un de nos enfants dit ne plus y croire, on le met dans la confidence afin de garder la magie intacte pour ses frères et sœurs cadets. On insiste sur l’importance de ne pas leur gâcher le plaisir, et on laisse les aînés nous aider à mettre les cadeaux sous le sapin. Ils participent ainsi à la magie et au plaisir de la fête. Devenir soi-même le Père Noël, c’est top! Ça a très bien fonctionné jusqu’ici. Mon petit dernier y croit encore!”
― Kendra Votava
A toi de décider si tu as envie de croire à la magie et à l’esprit de Noël. Peu importe ce que tu vois à la télé ou dans les magasins.
“Quand ma fille était très jeune, elle m’a demandé de lui confirmer si ses amis avait raison de dire que le Père Noël n’existait pas. Je lui ai demandé à mon tour: ‘Est-ce qu’on doit arrêter de donner et d’être gentil avec les gens si jamais on découvre que le Père Noël est juste un produit commercial?’ Elle a dit non. ‘Eh bien, tu as ta réponse. A toi de décider si tu as envie de croire à la magie et à l’esprit de Noël. Peu importe ce que tu vois à la télé ou dans les magasins.’
Elle va bientôt avoir 11 ans et elle m’a dit l’autre jour: ‘Maman, comment j’ai pu croire que tu laisserais un vieux monsieur me regarder dormir et que tu laisserais un inconnu entrer dans la maison en pleine nuit?’ J’ai répliqué: ‘Bien sûr que je ne ferais jamais ça, Sonia, mais le Père Noël, ce n’est pas un type ordinaire. C’est l’esprit de Noël, tu te souviens?’ Elle a écrit sa lettre au Père Noël, mais c’est peut-être la toute dernière fois, alors j’ai intérêt à me trouver ce truc en réalité virtuelle qu’elle a demandé!”
― Ana Nita
Ils savent que ce n’est pas une personne réelle.
“Nous leur avons dit que nous devenions tous le Père Noël quand nous donnions du temps, de l’argent ou des cadeaux aux autres. Ils savent que ce n’est pas une personne réelle, mais qu’il symbolise l’esprit de Noël.”
― Mirna Sierra-Duchemin
Ces réponses ont été retravaillées et résumées pour plus de clarté.
Cet article, publié à l’origine sur le HuffPost américain, a été traduit par Iris Le Guinio pour Fast For Word.
Taylor Pittman The HuffPost
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Les revenus générés grâce à la location de biens immobiliers via la plateforme Airbnb seront taxés au Maroc. L’État aimerait assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et pourrait s’inspirer de ce qui se fait en Europe en matière fiscale.
Les autorités marocaines ont entamé les négociations avec le géant Airbnb, pour trouver une solution à la taxation des nuitées cumulée par le site au Maroc. L’autre problématique qui pose problème pour le Maroc, et à laquelle il faudra trouver une solution, c’est la qualité des logements proposés.
C’est en tout cas, ce que nous a confirmé une source sûre et les solutions pourront être appliquées prochainement. L’objectif premier, c’est d’assurer une équité entre tous les acteurs du secteur touristique et de maîtriser la qualité de l’offre Maroc. Parmi les nombreux offreurs d’hébergement sur Airbnb, on trouve de nombreux riads.
Cette plateforme californienne fondée en 2008, permet à des particuliers de louer tout ou une partie de leur propre habitation comme logement d’appoint sauf que jusqu’à présent l’État était en dehors de la boucle. Cette problématique a été soulevée un peu partout dans le monde et quelques pays européens ont trouvé des accords avec l’entreprise américaine notamment sur la question fiscale.
S’inspirer de l’Europe
Airbnb a effectivement chamboulé les habitudes de consommation des voyageurs et principalement pour le logement, l’un des budgets les plus conséquents dans un voyage. Les particuliers qui reçoivent des touristes chez eux ne sont pas considérés comme des professionnels de l’hôtellerie et estiment qu’ils n’ont aucune obligation fiscale envers l’Etat.
Pourtant, les revenus de cette activité sont bel et bien imposables. À la différence des professionnels, le réflexe d’aller déclarer au fisc ses entrées d’argent supplémentaires pour un particulier n’est pas automatique. La solution qui sera adoptée au Maroc n’est toujours pas connue avec précision, mais elle devrait tendre vers ce qui est proposé ailleurs, et en Europe particulièrement.
En France, le ministère des Finances a émis un tutoriel pour expliquer les obligations fiscales aux personnes qui offrent leur logement sur cette plateforme. L’Etat français a ainsi réparti les propriétaires en deux catégories selon le niveau de revenu obtenu grâce à Airbnb.
Ainsi, il y a ceux dont les recettes annuelles sont inférieures à 32.900 euros, qui seront taxés à hauteur de 50% des revenus et sans devoir s’acquitter de la TVA. Pour les autres, l’administration fiscale française les considérera comme étant des professionnels.
Il n’est pas exclu qu’Airbnb collabore avec le fisc marocain pour lui livrer les informations nécessaires et relatives à chaque compte. Une fois l’accord trouvé avec l’État marocain, la plateforme devra expliquer à ses utilisateurs le mode d’emploi comme ce qu’elle a fait avec les autres pays.
Il est aussi possible que des règles plus contraignantes soient imposées dans les grandes villes touristiques, comme ce qui se fera à partir de janvier prochain à Paris. La Mairie de la ville et l’entreprise californienne se sont mis d’accord pour limiter à 120 jours par an la location des logements entiers situés dans quelques arrondissements du centre de Paris. Selon notre source, cette solution pourrait être étudiée dans l’optique de protéger les établissements hôteliers.
Une vraie source de revenus
Le nombre de Marocain qui un logement sur cette plateforme augmente jour après jour. Au fil des mois, la location via Airbnb est devenue une source de revenus non négligeables pour plusieurs personnes. En plus des personnes dont l’objectif est d’arrondir les fins de mois, nous pouvons trouver des établissements touristiques qui profitent de la notoriété mais aussi des avantages que propose le site.
L’application qui regroupe plus de 16.500 hébergeurs à travers le Maroc, génère chacun jusqu’à 10.000 DH par mois et par hébergeur, selon les chiffres 2016. Un chiffre qui sera probablement plus important en 2017, selon la courbe de croissance exponentielle que connaît la plateforme.
En 2016, et grâce aux offres publiées sur la plateforme californienne, plus de 210.000 touristes se sont rendus au Maroc en provenance de 140 pays. Ces derniers, passent en moyenne des séjours de 3,6 nuits et la moyenne des prix appliqués par les hébergeurs marocains tourne aux alentours de 85$, selon les statiques de Airbnb.
Par E.M.B
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Comment bien se tenir à table ? Quelles sont les choses à ne surtout pas dire ? Que faut-il s’interdire ? Zoom sur ces dix fautes que nous sommes si nombreux à faire.
“Manger” ou “Dîner” ?
Ce que l’on dit : “On va manger ?”
Ce qu’il faut dire : “On va déjeuner / dîner ?”
Explications.Faute ! Comme le répète ma collègue préférée, on “mange quelque chose” et on va “déjeuner”, “dîner”, “souper” ou “petit-déjeuner”, au choix. Donc, on choisit.
“Bon appétit” ou rien du tout ?
Ce que l’on dit : “Bon appétit !”
Ce qu’il faut dire : rien du tout
Explications. Souhaiter “Bon appétit” suggère que vous aurez besoin d’avoir de l’appétit pour manger ce que votre hôte a préparé. En gros, que ce n’est pas folichon. Pas très sympa… Conclusion : on ne dit rien.
“Ce n’est pas bon”, “Je n’aime pas” ou rien du tout ?
Ce que l’on dit : “C’est dégoûtant”
Ce qu’il faut dire : rien
Explications. “On ne dit pas ‘C’est dégueulasse’, on dit ‘Je n’aime pas'”, répétait ma maman quand j’étais enfant. L’idéal étant… de ne rien dire. Si vous êtes allergique ou que vous suivez un régime spécial, informez-en vos hôtes avec discrétion plusieurs jours avant le repas. Si cela n’a pas été fait, on se sert, on prend une petite portion et s’arrange pour ne pas se faire griller.
Se servir ou attendre la maîtresse de maison ?
Ce que l’on fait : se servir en premier
Ce qu’il faut faire : attendre la maîtresse de maison
Explications.”On attend mamie !” lançait toujours mon papi. Il avait raison, mon petit papi : on ne doit jamais, jamais saisir ses couverts ou (pire !) commencer à manger avant que tous les invités ne soient servis… et surtout que la maîtresse de maison, assise, ne l’ait autorisé en commençant elle-même à manger. Prenez aussi le morceau de viande ou de poisson devant vous, sans choisir (et sans commentaire !) Pour le fromage, pas de double service (et pas plus de trois fromages différents).
Assaisonner d’emblée ou attendre ?
Ce que l’on fait : saler/poivrer avant d’avoir goûté son plat
Ce qu’il faut faire : goûter… puis, éventuellement, assaisonner
Explications. Assaisonner son plat avant de le goûter insinue que l’on sait déjà qu’il ne nous conviendra pas… en gros, vous insultez le chef. D’abord on goûte et ensuite, on assaisonne si besoin.
Utiliser ses couverts comme on veut ou respecter l’ordre ?
Ce que l’on fait : utiliser ses couverts n’importe comment
Ce qu’il faut faire : utiliser les couverts de l’extérieur vers l’intérieur
Explications. Petit récap’ : sur la table, la serviette qui vous est destinée se trouve à la gauche de votre assiette. Lorsque vous vous installez, prenez-la et dépliez-la avec délicatesse afin de la poser sur vos genoux, dans le sens de la longueur. Utilisez en premier les couverts les plus éloignés de votre assiette et ainsi de suite, de l’extérieur à l’intérieur. Le couteau à pain doit se trouver au dessus de la serviette, vers les fourchettes. La cuillère et la fourchette situées en haut de votre assiette sont réservées au dessert. Lorsque vous avez terminé, ne repliez pas votre serviette, posez-la simplement à droite de votre assiette. A la fin du repas, retournez la fourchette, la cuillère et le couteau (pointe, dos bombés et lame vers l’assiette) transversalement. Voilà, vous savez tout.
Utiliser son couteau ou le laisser ?
Ce que l’on fait : utiliser son couteau à tort et à travers
Ce qu’il faut faire : l’utiliser le plus rarement possible
Explications. Évidemment, pour couper un morceau de viande ou de poisson, vous en aurez sans doute besoin. Mais ne vous en servez pas pour manger ou pour pousser, même si vous disposez d’un couteau réservé à cet effet. Si vous en ressentez le besoin, aidez-vous d’un morceau de pain… en évitant de saucer à la fin. Si vous en mourez d’envie, les chefs recommandent de planter un morceau de pain dans la fourchette.
Boire n’importe comment ou respecter les conventions ?
Ce que l’on fait : s’emmêler les pinceaux avec les verres
Ce qu’il faut faire : respecter les conventions
Explications. Le plus grand verre est destiné à l’eau, l’autre (ou les autres) au(x) vin(s). Le verre à champagne est en forme de flûte ou de coupe. Ne vous servez pas vous-même, sauf si personne ne fait le service. Si vous n’en voulez plus, laissez un peu de vin (ou de champagne, donc) au fond de votre verre.
Arriver à l’heure ou en retard ?
Ce que l’on fait : arriver trop tôt… ou trop tard
Ce qu’il faut faire : respecter le “quart d’heure de courtoisie”
Explications. En France, il est conseillé d’arriver quinze minutes après l’heure annoncée par l’hôte. Ces précieuses minutes lui permettront de fignoler les derniers préparatifs sans pression.
Sortir de table ou patienter ?
Ce que l’on fait : s’absenter… au propre, comme au figuré
Ce qu’il faut faire : on ne part pas aux toilettes, on n’envoie pas de messages, on ne répond pas au téléphone lorsque l’on est à table. D’ailleurs, ne posez pas votre téléphone (ou tout autre objet comme vos clefs, votre portefeuille ou votre sac) sur la table.
Explications. Vous voulez que votre hôte pense que vous avez mieux à faire que d’être à son dîner ? Bingo. Aller aux toilettes, répondre aux derniers textos ou appels… tout cela se fait avant de passer à table. En cas d’urgence (et de grosse urgence seulement !), on indique à l’hôte que l’on doit quitter la table quelques minutes… sans oublier de lui présenter des excuses.
Alors, prêts pour les grands dîners ?
* Sources : Laurence Caracalla (Le Savoir-vivre de la Parisienne), Nadine de Rothschild (Le bonheur de séduire, l’art de réussir) ma mère et mon papi
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