Riad Dar Khmissa Marrakech
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Mois : septembre 2018

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septembre 29, 2018

Whoopi Goldberg confirme qu’elle participera au reboot de « Sister Act » !

Un reboot de Sister Act est en préparation et Whoopi Goldberg l’a confirmé elle-même dans une interview à Good Morning Britain : elle sera de la partie.

Vos nonnes préférées sont de retour ! Dans une interview accordée à Good Morning Britain, Whoopi Goldberg a confirmé qu’un reboot de Sister Act était en préparation. Il ne s’agira donc malheureusement pas d’un troisième volet à proprement parler.
« Disney nous a fait savoir qu’ils allaient prendre une nouvelle direction avec ‘Sister Act’, a confié l’actrice américaine, reconvertie depuis quelques années en animatrice de télévision. Donc ça ne sera pas ‘Sister Act 3’ à proprement parler, mais une toute nouvelle plongée dans l’univers. J’imagine qu’ils me demanderont de faire une apparition et ça sera tout. » C’est déjà pas mal !

Un succès tonitruant

Le premier volet de « Sister Act », réalisé par Emile Ardolino, est sorti en 1992. Le film raconte l’histoire de Dolores Van Cartier, une chanteuse de cabaret témoin d’un crime et placée sous protection policière dans un couvent. Le film avait été l’une des comédies les plus rentables des années 90, engorgeant près de 231 millions de dollars de recettes.
Le deuxième volet, « Sister Act 2 », sorti dans les salles un an plus tard, avait reçu un accueil plus mitigé et des critiques très négatives.
Crédit photo : Sister Act/« Oh Happy Day ».

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septembre 28, 2018

Le Musée pour la Civilisation de l’Eau

L’un des joyaux de Marrakech, le Musée pour la Civilisation de l’Eau

Par Olivier Delagarde | Publié le 20/09/2018 à 10:25 | Mis à jour le 20/09/2018 à 10:33

Photo : Crédit Nathalie Delagarde-Truchot

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De loin l’un des sites culturels les plus modernes en Afrique, le musée Mohammed VI pour la civilisation de l’eau au Maroc s’inscrit parmi les lieux incontournables dans le paysage du royaume. De par la richesse de son architecture, de sa présentation mais également du message qu’il véhicule -l’homme et l’eau au Maroc, génie et tradition renouvelé – à travers les installations, les maquettes, la nouvelle technologie largement utilisée, la reconstitution historique mais surtout l’ambiance unique dans laquelle plonge le visiteur, le musée Aman fait voyager à travers l’épopée hydraulique et son défi au Maroc et dévoilera tout sur la politique de l’eau au Maroc et sur le génie marocain dans l’entreprenariat de cette richesse. D’une superficie de 2000m² aménagée sur 3 niveaux, l’exposition permanente est un itinéraire à travers le génie hydraulique marocain, tant le traditionnel et ancestral que le moderne et contemporain, et une invitation aux questionnements sur les enjeux et les défis futurs…
 
Ce musée nouvelle génération est à la fois historique, scientifique, culturel, pédagogique et ludique.  La mission du musée est servie par une véritable ossature de ressources muséographiques : scénographies, objets, maquettes topographiques, cartes, photos, documents manuscrits, supports audiovisuels multimédia, son & lumière, etc…
 
Lieu attrayant et novateur pour le grand public, le musée Aman a été créé en hommage au génie marocain dans la gestion de l’eau, au rôle historique des Habous dans la régie ancestrale de la ressource et en hommage à l’œuvre contemporaine de feu Hassan II, ainsi que dans la politique actuelle du Roi Mohammed VI concernant les réalisations hydrauliques du royaume.
 
Nous en avons poussé les portes et l’avons exploré. Découvrez :
 
 
 
 
 
En quelques chiffres :
 
–              Surface du terrain 5ha
–              Bâtiment & musée 20.000m²
–              Projet de parc 30.000m²
–              Exposition permanente 2000m²
–              Nombre de visiteurs 2017 – 300.000
 
 
Infos :
Entrée circuit Palmeraie – Ave El Khattabi
Route de Casablanca à Marrakech
Ouvert tous les jours de 9H00 à 19H00

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septembre 27, 2018

RAM: Pourquoi les pilotes rejettent l’accord

ENTREPRISES

RAM: Pourquoi les pilotes rejettent l’accord

«Un désaveu de l’équipe dirigeante de l’AMPL», selon la compagnie

Les pilotes comptent élire un nouveau bureau pour reprendre les négociations

Pour Amine Mkinsi, président sortant de l’AMPL, «c’est au nouveau bureau de relancer les négociations avec les dirigeants de la compagnie. Quant à moi, je ne compte pas rempiler» (Ph. Jarfi)

«Non». C’est la réponse des pilotes de ligne envoyée au management de Royal Air Maroc. Un niet «catégorique» qui rejette en bloc l’accord paraphé en août dernier avec la direction de la compagnie. La décision a été entérinée suite à un référendum organisé par l’Association des pilotes de ligne (AMPL) ce mois-ci. Après dépouillement des votes exprimés, la majorité des pilotes se disent «contre» l’accord (359 ont voté: Non).
A peine une soixantaine des pilotes sont favorables (Oui). Par ailleurs, le dépouillement a relevé 5 votes blancs et 2 bulletins nuls. Ce nouveau rebondissement remet en cause la trêve actée fin août dernier. Ce qui n’exclut pas un nouveau feuilleton de perturbations.
Selon la corporation des pilotes, «c’est une décision démocratique qui respecte les avis de l’ensemble des pilotes. A présent, c’est au futur bureau (et donc président) qui sera élu en octobre prochain de reprendre les négociations avec le management pour trouver un nouvel accord qui arrangerait l’ensemble des parties». Pour rappel, le mandat de l’actuel bureau de l’AMPL, présidé par Amine Mkinsi, prend fin.
Le référendum électif du prochain président est programmé entre le 24 septembre et le 5 octobre. Une chose est sûre, le président sortant (Amine Mkinsi) ne compte pas rempiler pour un second mandat. Selon une source proche du management de RAM, «ce nouveau rebondissement est inquiétant. C’est d’abord un désaveu pour les membres du Bureau de l’AMPL.
Le rejet de l’accord annonce encore plus de tensions, un durcissement du bras de fer, voire la menace de nouvelles perturbations et annulations de vols. Ce qui renseigne sur la position d’une branche radicale des pilotes. Ce sont surtout les jeunes pilotes et co-pilotes qui rejettent l’accord, car ils se sentent lésés sur les valorisations des grilles des salaires, telles que convenues de commun accord, par rapport à leurs aînés, les commandants de bord».  
Pour rappel, sur la valorisation des salaires, la grille de l’accord oscille entre une augmentation de 5.175 DH nets pour les commandants de bord et 3.000 DH pour les copilotes (soit un différentiel de l’ordre de 2.175 DH nets).
Selon l’AMPL, «c’était clair dès le départ, la compagnie savait que l’accord paraphé en août dernier allait être soumis à un référendum. C’était d’ailleurs l’unique option pour trouver une voie de sortie». Le bras de fer qui a opposé l’été dernier le management de RAM aux pilotes avait, rappelons-le, causé de nombreuses perturbations et annulations de vols (en moyenne une douzaine par jour et ce, depuis le 18 juillet).
Ce qui s’était traduit par une grogne côté passagers voire des pertes chiffrées à coups de millions de dirhams, et un coup dur asséné à l’image de marque de RAM tant au Maroc qu’à l’international. Valeur aujourd’hui, «personne n’est en mesure de donner une estimation des chiffres exacts des pertes financières. Les chiffres avancés çà et là sont erronés voire surdimensionnés», tient à préciser Amine Mkinsi, président de l’AMPL.
Les pilotes n’excluent pas une sorte de «diversion» de la part de la compagnie pour gonfler les chiffres de l’impact afin de cacher les contreperformances et occulter les fragilités commerciales.
Les pilotes tiennent aussi à expliquer les soubassements et les zones d’ombres qui ont entaché ce mouvement atypique. Ils tiennent surtout à préciser qu’il ne s’agit nullement de «grève».
Mais plutôt une «astreinte» qui intervient après «un dialogue social chaotique» pour revenir aux fondamentaux tels que stipulés par la réglementation internationale de l’OACI (Organisation de l’aviation civile internationale). Autrement dit, plus de flexibilité le week-end.  Selon RAM, ce n’est qu’un jeu de mots qui se cache derrière le vocabulaire.
Pour contextualiser le mouvement, les pilotes préfèrent revenir sur l’historique, notamment le Plan de restructuration de la compagnie en 2011, période où la RAM était au bord de la faillite. «Un plan où les pilotes ont joué un rôle prépondérant», tient à préciser l’AMPL. Elle en veut pour arguments, «les pilotes ont offert des reliquats de congés qui s’amoncelaient, consenti des efforts sur la formation des jeunes via une nouvelle structure, les repas…
L’effort global représente l’équivalent de 180 millions de DH, d’un seul coup». Mais le plus grand effort consenti par la corporation des pilotes porte sur «l’accroissement de l’effort et de la productivité. Autrement dit, accepter de faire des heures de vols en plus», tient à préciser Mkinsi.
«Nous étions en situation de sauvetage. Il fallait sauver vaille que vaille la compagnie», explique le président. Or, sur le plan quantitatif, l’on ne pouvait pas continuer à tenir ce rythme intense 7 ans plus tard, renchérit-il.
Les pilotes vont plus loin et benchmarkent leur productivité  avec les compagnies internationales. La règlementation internationale  est fixée à 900 heures, c’est le plafond. «Nous sommes 70% à faire plus de 830 heures de vol. Il n’y a aucune compagnie dans le pourtour méditerranéen, y compris les low cost, qui fait autant», insiste Mkinsi.
Sur un tout autre registre, qualitatif cette fois-ci, l’AMPL précise que la majorité des heures travaillées sont de nuit, avec des vols «pénibles». Car le hub de Casablanca est construit  de manière à faire l’Europe le jour et l’Afrique la nuit. C’est dire que «la pénibilité monte à son paroxysme», avec tous les aléas liés aux horaires de nuit, la météo, le risque, les épidémies, l’infrastructure,  des aéroports éloignés, le stress kérosène…
Après ces efforts qui se sont poursuivis 6 à 7 ans, à la fois sur le plan qualitatif que quantitatif, les pilotes ont décidé de revenir aux fondamentaux. En clair, respirer un grand coup! Sauf que le déficit d’effectifs de pilotes se creuse d’année en année depuis 2011.
                                                                     
«Populisme» autour des salaires?
Sur la question des salaires, qui fait polémique au Maroc, les pilotes disent qu’il faut nuancer ce débat «populiste» et comparer le comparable. Selon eux, l’on communique çà et là des chiffres farfelus qui induisent l’opinion publique en erreur. Pour relativiser cette question, «il faut benchmarker avec l’international, surtout des compagnies de la même taille, et ramener le salaire à la productivité».
Actuellement, RAM dispose d’une flotte de  55 appareils pour environ 550 pilotes (soit en moyenne 10 pilotes par appareil). «La question du sous effectif était prévisible et la compagnie n’a rien fait pour anticiper le renfort des pilotes. Du coup, l’effectif a été mal calculé et le déficit s’est creusé d’année en année. Aujourd’hui, RAM a besoin de 86 pilotes en CDD. Ce sont des pilotes étrangers que l’on va recruter en CDD. Et l’on n’en a pas trouvé. Jusque-là, nous n’avons que 19 recrues.
Les nouvelles recrues ont en moyenne 500 h de vols (ce qui correspond à 8 mois d’expérience). Elles seront payées à 85.000 DH nets, quel que soit l’horaire passé dans le cockpit. Et même à 85.000 DH, RAM n’arrive pas à trouver des pilotes», tient à préciser Amine Mkinsi. En général, la moyenne des salaires d’un commandant est autour de 110.000 DH. 
Les commandants de bord en fin de carrière, une petite minorité, flirtent avec les 160.000 DH. «C’est en général le revenu d’un commandant de bord en fin de carrière et sur le long courrier et surtout avec des heures supplémentaires», nuance une membre de l’AMPL. Et d’ajouter, il s’agit de commandants de bord qui travaillent 80 heures par mois sur un appareil de 3 milliards de DH.
Il faut dire qu’un jeune pilote qui démarre sa carrière à RAM, est en moyenne rémunéré autour de 55.000 DH nets. Ceci dit, en moyenne, un commandant de bord qui a une quinzaine d’années d’expérience (l’essentiel de l’effectif de RAM) perçoit  entre 100.000 et 110.000 DH pour 80 heures par mois (880 h/an).
«On ne peut pas comparer le revenu d’un pilote et donner des ordres de grandeur  avec le Smig. C’est du populisme et du non-sens. Le pilote marocain évolue dans une communauté internationale avec le quart du salaire déboursé dans les déplacements, mais il est loin de la fourchette pratiquée partout dans le monde», explique une femme commandant de bord.

Par Amin RBOUB | Edition N°:5357 Le 25/09/2018 |

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septembre 27, 2018

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septembre 22, 2018

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