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février 13, 2020

Génération Green

LE ROI INAUGURE DES PROJETS EN FAVEUR DES JEUNES, DANS LE SOUSS-MASSA
NATION
Le Roi Mohammed VI lance la stratégie “Génération Green” pour l’agriculture
Baptisé par le Souverain “Génération Green 2020-2030”, le nouveau plan prend le relais de Maroc Vert qui a atteint, voire dépassé, une grande partie de ses objectifs.

Le Roi Mohammed VI lance la stratégie
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00:00Le 13 février 2020 à17:30
Modifié le 14 février 2020 à 10:08
Au début de cette cérémonie, il a été procédé à la projection d’un film institutionnel qui met en avant la dynamique de développement qu’a connue le secteur agricole durant la dernière décennie, à la faveur notamment du Plan Maroc vert (PMV), avec des témoignages d’agriculteurs ayant bénéficié de ce plan.

Par la suite, le ministre de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Aziz Akhannouch, a présenté, devant le Souverain, les grandes lignes des nouvelles stratégies “Génération Green 2020-2030” et “Forêts du Maroc”.

M. Akhannouch a indiqué, à cette occasion, que la nouvelle vision stratégique du secteur agricole a été élaborée conformément aux orientations royales contenues dans le discours du Souverain à l’occasion de l’ouverture de la 1ère session de la 3e année législative de la 10e législature (12 octobre 2018).

Dans ce discours le Roi avait appelé “à une consolidation des acquis réalisés dans le domaine agricole et à la création de nouvelles activités génératrices d’emplois et de revenus, notamment en faveur des jeunes en milieu rural”, en vue de “favoriser l’émergence d’une classe moyenne agricole, d’en consolider l’ossature pour qu’en définitive, elle puisse exercer sa double vocation de facteur d’équilibre et de levier de développement socio-économique, à l’image de la classe moyenne urbaine et du rôle clé qui lui est dévolu”, a rappelé le ministre.

Cette stratégie se base sur une capitalisation des acquis réalisés par le Plan Maroc vert, à travers l’adoption d’une vision nouvelle du secteur agricole, la consécration d’une nouvelle gouvernance et la mise à disposition du secteur de moyens modernes, a-t-il ajouté.

M. Akhannouch s’est arrêté sur les réalisations accomplies dans le cadre du Plan Maroc vert et, notamment, la signature de 19 contrats-programme, la mise en œuvre de 12 plans agricoles régionaux, la création de quatre nouvelles agences, l’entrée en vigueur de 4.500 textes juridiques, et plus de 34 milliards de DH mobilisés par des financements internationaux.

Au niveau macro-économique, le PMV a permis la multiplication du PIB-agricole et des exportations agricoles, ainsi que l’augmentation du volume des investissements, a poursuivi M. Akhannouch, notant qu’au niveau social, le PMV a permis la création de postes d’emploi et l’augmentation des taux de couverture des besoins alimentaires.

Pour ce qui est de la durabilité, le Plan a favorisé l’économie des eaux d’irrigation, la consolidation de la résilience de l’agriculture et la baisse de l’agriculture pluviale, outre l’impulsion d’une dynamique d’intégration de la petite et moyenne agriculture, en bénéficiant à 2,7 millions d’agriculteurs, a-t-il dit.

M. Akhannouch a indiqué que le secteur agricole marocain ambitionne de franchir un nouveau palier dans son développement, faisant observer que la nouvelle stratégie agricole se base sur deux principaux piliers, à savoir la valorisation de l’élément humain et cela à travers l’émergence d’une nouvelle génération de classe moyenne agricole (350.000 à 400.000 ménages), et la naissance d’une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs, via la mobilisation et la valorisation d’un million d’hectares de terres collectives et la création de 350.000 postes d’emploi au profit des jeunes.

Cette classe moyenne et ces jeunes agriculteurs pourront également recourir à une nouvelle génération d’organisations agricoles plus innovantes et bénéficier de nouvelles mesures d’accompagnement leur permettant de renforcer leurs compétences, a assuré le ministre.

Le second pilier de cette nouvelle stratégie a trait, selon M. Akhannouch, à la poursuite de la dynamique de développement du secteur, en favorisant le développement humain et social.

Pour cela, la nouvelle vision prévoit la consolidation des filières agricoles, en vue de la multiplication des exportations et du PIB-agricole pour atteindre 200 à 250 milliards de DH à l’horizon 2030, l’amélioration des process de distribution des produits à travers la modernisation de 12 marchés de gros et des marchés traditionnels, a précisé M. Akhannouch.

Il s’agit également du renforcement de la résilience et la durabilité du développement agricole, ainsi que l’amélioration de la qualité et de la capacité d’innovation, a relevé M. Akhannouch, notant qu’il est prévu dans ce cadre l’octroi d’autorisation à 120 abattoirs modernes et le renforcement du contrôle sanitaire.

La réalisation de cette stratégie nécessitera une augmentation annuelle du budget du secteur de près de 2,5% et ce à partir de l’an 2020, a indiqué le ministre.

Stratégie “Forêts du Maroc” 2020-2030
Au sujet de la nouvelle stratégie relative au secteur des eaux et forêts “Forêts du Maroc”, M. Akhannouch a souligné l’importance des espaces forestiers, dont la superficie est estimée à 9 millions de ha, et leur fonction environnementale, économique et sociale.

Il a dans ce cadre affirmé que la forêt marocaine se trouve dans un état délabré, à cause notamment de la détérioration de 17.000 ha de terres de forêts chaque année, la faiblesse de la valorisation des forêts de chêne-liège, le sur-prélèvement en bois de feu et la surexploitation des zones de pâturage.

Pour renforcer la compétitivité du secteur et assurer sa modernisation, il a été procédé à l’élaboration de la nouvelle stratégie des eaux et forêts qui se base sur un modèle de gestion intégré, durable et générateur de richesse.

Cette nouvelle stratégie vise à faire des forêts un espace de développement, à assurer une gestion durable des ressources forestières, à adopter une approche participative associant les usagers, à renforcer les capacités de production des forêts, et à préserver la biodiversité, a dit le ministre.

Cette stratégie ambitionne, à l’horizon 2030, le repeuplement de 133.000 ha de forêts, la création de 27.500 postes d’emplois directs supplémentaires, outre l’amélioration des revenus des filières de production et de l’éco-tourisme pour atteindre une valeur marchande annuelle de 5 milliards de DH.

Pour ce faire, la nouvelle stratégie s’articulera autour de quatre principaux axes, à savoir la création d’un nouveau modèle basé sur une approche participative associant les populations à la gestion, le développement des espaces forestiers selon leurs richesses, la promotion et la modernisation des métiers forestiers à travers la création de pépinières forestières modernes et l’introduction de l’outil numérique dans la gestion du secteur, et enfin la réforme institutionnelle du secteur via la qualification des ressources humaines, la mise en place d’un pôle de formation et de recherche, et la création d’une Agence des eaux et Forêts et d’une Agence de conservation de la nature.

Cette stratégie prévoit aussi l’aménagement et la valorisation des 10 parcs nationaux et ce, en vue d’assurer un développement économique et social en plein respect du patrimoine naturel, culturel et territorial.

Ces deux nouvelles stratégies, agricole et des eaux et forêts, seront mises en œuvre à partir de 2020, notamment au niveau territorial selon les spécificités et les atouts de chaque région, et ce en coordination avec tous les intervenants, selon les principes de la bonne gouvernance en terme de suivi et d’évaluation des investisseurs ainsi que des indicateurs d’efficacité et de rendement.

Un projet de plantation de 100 ha d’arganier
Le Souverain a ensuite procédé au lancement du projet de plantation de 100 ha d’arganier dans la commune d’Imi Mqouren (1,8 million DH), un projet qui entre dans le cadre du programme de plantation de l’arganier agricole dans la province de Chtouka Ait Baha sur une superficie de 1.250 ha.

Ce programme, qui concerne 7 communes et bénéficie à 729 personnes, nécessite des investissements de l’ordre de 28 millions de DH. Il fait partie d’un programme global de développement de l’arganiculture sur une superficie de 10.000 ha, dans les régions de Souss-Massa, Marrakech-Safi et Guelmim-Oued Noun.

Ce programme global (2017-2022) mobilise une enveloppe budgétaire de 490 millions DH, financée par le Fonds Vert pour le Climat (390 MDH) et le Gouvernement marocain (100 MDH), et bénéficie aux provinces d’Essaouira (2.885 ha), de Taroudante (1.337 ha), de Sidi Ifni (627), de Chtouka Ait Baha (1.250), de Guelmim (623 ha), de Tiznit (3.188 ha), ainsi qu’à la préfecture d’Agadir Ida Outtanane (90 ha).

Réseau d’irrigation à partir de la station de dessalement
Le Roi a également procédé au lancement des travaux de réalisation du réseau d’irrigation à partir de la Station de dessalement d’eau de mer d’Agadir, dont les travaux de réalisation enregistrent un taux d’avancement de 65%.

La réalisation de cette station s’inscrit en droite ligne des objectifs du programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027, visant la consolidation et la diversification des sources d’approvisionnement en eau potable, l’accompagnement de la demande pour cette ressource inestimable, la garantie de la sécurité hydrique et la lutte contre les effets des changements climatiques.

D’une superficie de 20 ha, cette station, située à 40 Km au sud d’Agadir sur un site côtier au nord de la localité de Douira, Commune d’Inchaden, au sein du Parc national de Souss Massa, ambitionne de satisfaire les besoins en eau potable du Grand Agadir et en eau d’irrigation de la plaine de Chtouka.

Ce projet, qui le fruit d’un partenariat public-privé, a pour principaux objectifs l’alimentation en eau potable du grand Agadir du fait de l’insuffisance de l’offre des ressources conventionnelles, et la sauvegarde de la nappe phréatique (déficit annuel des ressources souterraines estimé à 90 millions de m3).

Il vise aussi la sécurisation de l’alimentation en eau d’irrigation de la plaine de Chtouka (15.000 ha) et la préservation des activités agricoles dans la région, particulièrement les cultures à forte valeur ajoutée, ainsi que la capitalisation de l’expérience du secteur privé.

D’un coût global de 4,41 MMDH, dont 2,35 MMDH pour sa composante irrigation et 2,06 MMDH pour sa composante d’eau potable, ce projet, le premier du genre en Afrique, consiste en la mise en place des meilleurs procédés, notamment la technologie d’osmose inverse, et équipements existants actuellement dans le domaine du dessalement de l’eau de mer et de la distribution de l’eau.

Ce projet consiste en la réalisation d’ouvrages marins (deux conduites d’amenée de 1.100 ml de longueur chacune équipées de tours de prise, un émissaire de rejet de 660 ml de long avec diffuseur), d’une station de dessalement et d’infrastructures d’irrigation (réservoir de stockage, 5 stations de pompage, adducteur principal 22 km et réseau de distribution 489 km).

La mise en service de l’unité de dessalement, prévue en mars 2021, produira un premier temps 275.000 m3/jour à raison d’un débit de 150.000 m3/jour d’eau potable et d’un débit de 125.000 m3/jour d’eau d’irrigation. Ses installations permettront à terme une capacité totale de 400.000 m3/jour qui devrait être partagée équitablement entre l’agriculture et l’eau potable.

A noter que l’Office national de l’électricité et de l’eau potable réalise des installations nécessaires au transport de l’eau dessalée jusqu’au réservoir de la Régie autonome multi-services d’Agadir “Ramsa” à l’entrée de la ville d’Agadir, d’un coût de 363 millions de DH. A ces installations s’ajoutent celles nécessaires à l’alimentation électrique du projet de dessalement à partir du poste source de Tiznit. Le coût de l’alimentation électrique s’élève à 92 millions de DH.

Modernisation du périmètre irrigué d’Aoulouz
Toujours dans le cadre du développement du secteur agricole, la région de Souss-Massa connait également la réalisation, au niveau de la province de Taroudante, du projet de modernisation du périmètre irrigué d’Aoulouz.

Portant sur une superficie de 4.486 ha, ce projet concerne les collectivités territoriales d’Aoulouz, Id Aoukemad, El Faed et profite à quelque 6.000 exploitations agricoles exploitées dans le cadre d’une fédération composée de 7 associations d’usagers des eaux agricoles.

D’un coût global de plus de 470 millions DH, ce projet consiste à moderniser le réseau d’irrigation traditionnel gravitaire de séguias en terre qui entraîne beaucoup de pertes d’eau, en un réseau d’irrigation localisée qui a généralement une bonne efficience en eau.

Il vise ainsi la valorisation des eaux d’irrigation, l’intensification et l’amélioration de la production agricole et l’augmentation des revenus des agriculteurs, avec une hausse de la valeur ajoutée par hectare de 4.000 DH à 28.000 DH.

(MAP)

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février 6, 2020

Le gigantesque projet d’Agadir

Dessalement : Le gigantesque projet d’Agadir
6 février 2020

Le projet de dessalement d’Agadir est l’un des plus grands projets au Maroc et même dans la région méditerranéenne et africaine a indiqué jeudi le Directeur général de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE), Abderrahim El Hafidi.

Dans une déclaration à la presse à l’occasion du lancement par le Roi Mohammed VI des travaux de réalisation du réseau d’irrigation à partir de la Station de dessalement d’eau de mer d’Agadir, El Hafidi a relevé que c’est un projet “très structurant et innovant”, surtout en matière d’optimisation du coût de production, et une première en matière de mutualisation entre la production de l’eau potable et de l’eau d’irrigation.

Ce projet permettra de réaliser l’une des plus grandes stations de dessalement au niveau de la région méditerranéenne et africaine avec une capacité initiale de 275.000 mètres cube (m3) par jour, dont 150.000 par jour destinés à l’eau potable, a-t-il encore souligné, ajoutant que ce projet permettra également l’accès à l’eau potable d’environ 1.600.000 habitants de la région du grand Agadir et développera l’économie agricole et tout ce qui a trait à la problématique d’irrigation. Il a en outre précisé que c’est un projet pour lequel “nous avons pris en considération un facteur d’une grande importance conformément aux instructions du Roi Mohammed VI et qui est le coût de production”, expliquant que, généralement, le mètre cube produit à partir du dessalement de l’eau de mer a un coût très élevé au niveau mondial.

El Hafidi a, par ailleurs, mis l’accent sur trois paramètres sur lesquels ils ont agi pour réduire ce coût de production. Le premier concerne le recours aux dernières générations en matière de technologies pour pouvoir réduire le coût de l’énergie de production, lesquelles sont améliorées par un système appelé le “système des échangeurs de pression” qui est fait de la filtration sous haute pression et “permet de récupérer l’énergie et de réaliser un impact très positif sur le coût de l’énergie par m3 produit et réduit à peu près 43%”.

Quant au deuxième paramètre, il concerne, selon le responsable, le raccordement de la station de dessalement à un parc éolien, étant donné que le “Maroc a un potentiel renouvelable très puissant et qu’il est l’un des rares pays à produire de l’énergie à partir de l’éolien avec un coût très optimisé”.

Le troisième et dernier paramètre est lié au transport de l’eau dessalée à partir de la station de dessalement vers le réseau de distribution du grand Agadir, a-t-il fait savoir, notant que “nous avons bénéficié de la géographie de la région pour pouvoir mobiliser la force gravitaire et ne pas utiliser l’énergie électrique pour ce transport, ce qui permet d’avoir un mètre cube très optimisé”

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octobre 23, 2018

Cyril Dion en conférence à Marrakech

Cyril Dion en conférence à Marrakech

La Conférence portera sur l’histoire de la création de Colibris, sur la philosophie et les principes qu’il défend, mais aussi sur le changement qui s’amorce et qu’il a montré dans “Demain” (ce changement est-il viable? Sommes-nous au crépuscule du modèle de développement que nous connaissions?), et sur le sens aujourd’hui de la résistance et de la mobilisation citoyenne.

Cyril Dion en conférence à Marrakech
Cyril Dion est militant écologiste, réalisateur et écrivain. En 2006, il rejoint Pierre Rabhi et fonde avec lui en 2007 le mouvement « Colibris », dont la philosophie repose sur deux principes essentiels : Humanisme et Respect de la Terre et du Vivant.

Il présidera ce mouvement jusqu’en 2013, et c’est sous son égide qu’il co-produit le documentaire« Solutions locales pour un désordre global » de Coline serreau. Il est aujourd’hui le porte-parole de « Colibris » et membre du cercle de pilotage.

En 2012, il co-fonde le magazine Kaizen dont il sera rédacteur en chef, et la collection Domaine du Possible aux éditions Actes Sud qu’il dirige toujours. Puis il écrit et co-réalise avec Mélanie Laurent le film documentaire Demain qui remporte, entre autres prix, le César du meilleur film documentaire en 2016 et rencontre un large succès en salle avec plus d’un million d’entrées en France et une diffusion dans 30 pays.

Ce documentaire est le récit d’un voyage entrepris aux quatre coins du monde pour recueillir les expériences et les témoignages de ceux et celles qui inventent de nouveaux modes de vie pour répondre aux principaux défis actuels : défis écologiques, crise financière, panne des institutions et de la démocratie, faillite de l’enseignement classique…

En savoir plus sur Cyril Dion Cf : fichier joint.

Pour plus d’info sur le programme de la conférence et y assister car places limitées :
Contact email
Othman CHAMI jnanl otf@yahoo.fr
📞 06 61 08 15 57
www.jnanlotf.com

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juin 29, 2018

Les tricycles Pickalty débarquent à Marrakech

 
Marrakech accueille les tricycles Pickalty. Écologique, économique et pratique, c’est une nouvelle façon de se déplacer dans la ville, mais pas seulement.

Avec une caisse pouvant supporter jusqu’à 200 kilos, Pickalty peut séduire une dame qui veut livrer des fleurs ou une très grosse compagnie de messagerie urbaine. Le produit a nécessité huit mois de recherches et de conception de la part du fondateur Brahim Belghiti et son équipe de cinq jeunes Marocains, en collaboration avec l’Université Mohammed V de Rabat.

D’une valeur de 23.000 DH, cette première livraison sera suivie d’autres dans l’optique d’étendre l’expérience à d’autres villes du royaume. Brahim Belghiti précise que l’agence entend étudier la meilleure stratégie pour déployer ce nouveau concept de mobilité durable favorisant à la fois l’optimisation et la multiplication des opérations de sensibilisations dans le royaume et sur le continent.

L’accord qui porte sur la livraison de solutions de mobilités durables entre dans le cadre du programme «mosquées vertes» lancé en 2016 en marge de la COP22 de Marrakech, l’idée étant d’équiper, dans une première phase, quelque 600 mosquées du pays avec des contrats de performance énergétique d’ici 2019.

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novembre 9, 2015

Plus de sacs en plastique à compter du 1er juillet 2016 !

Avec 900 unités par an, le Maroc est le deuxième consommateur de sacs en plastique au monde par habitant, derrière… Read moreRead more Plus de sacs en plastique à compter du 1er juillet 2016 !

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