1 avril 2019
95% des femmes préfèrent le couscous au sexe
Des chercheurs guatémaltèques ont récemment réalisé une étude qui fait trembler le monde entier (et surtout les hommes de ce monde), 95% des femmes préfèrent le couscous au sexe, une terrible nouvelle à ne pas prendre à la légère en ce 1er avril.
Une étude très sérieuse réalisée sur 5 ans
Juan-Carlos de la Mendoza Pepito, de son nom complet Juan-Carlos Chan Grégoire de la Mendoza Carpe Diem Pepito , est le chercheur en chef à l’initiative de cette incroyable étude scientifique très sérieuse. À l’aide de son équipe de chercheurs avec des noms eux aussi beaucoup trop compliqués, JC (pas Jésus-Christ, c’est bien de Juan-Carlos dont on parle) s’est penché sur cette question qui nous brûle tous les lèvres, et je ne parle pas du couscous : « Les sensations du bonheur sexuel peuvent-elles être inférieures à un plat ou à une boisson ? ».

L’Institut Guatémaltèque Spécialisé dans la Relation Entre Nourriture et Sexe et ses chercheurs
Pendant plus de 5 ans, les chercheurs de l’Institut Guatémaltèque Spécialisé dans la Relation Entre Nourriture et Sexe, ou pour faire court IGSRENS, ont interrogé près de 2 femmes originaires du monde entier, la troisième ayant été déclarée inapte car elle « n’était pas fan des plats trop piquants ». Après de multiples tests psychologiques, gustatifs et physiques, l’horrible dénouement a été dévoilé : les femmes préfèrent le couscous au sexe. Mais l’horreur ne s’arrête pas là chers messieurs et mesdames puisque le sexe se retrouve 4e derrière le couscous, le mojito et le chocolat en tablette. C’est alors une véritable claque que se sont pris les chercheurs en réalisant qu’ils ne comblaient pas leur femme.
95% des femmes préfèrent le couscous au sexe : chaos international
Cette preuve scientifique irréfutable implique de nombreux rebondissements dans la vie des tous les amateurs de sexe. Certaines compagnes ont d’ailleurs paniqué face à cette révélation de la plus haute importance en offrant une bière à leur mari pour s’excuser. Des scènes de chaos sont survenues dans toutes les grandes villes du monde entier. Notamment dans les rues de San Francisco, où des hommes désemparés se sont attaqués à tous les restaurants maghrébins de la ville en criant « Pourquoi ? Pourquoi ?! ».

Un restaurant maghrébin en feu à San Francisco après une attaque d’hommes tristes
Des mesures d’ampleur mondiale ont alors été prises par les grands dirigeants de ce monde : les merguez sont désormais interdites dans le couscous pour, je cite, « créer un manque chez nos femmes ». Même si les chiffres varient en fonction des pays, chaque politique s’est engagé à endiguer ce « fléau d’importance universelle ».

Les premiers dirigeants à avoir pris la décision de supprimer les merguez dans le couscous
Pour les plus curieux, c’est en Thaïlande que le taux le plus élevé a été enregistré et s’élève à 97,8%. « Probablement à cause de leur petit pénis » a alors réagi Rocco Siffredi. Et c’est au Congo que le taux est le plus faible avec tout de même 83,2%.
La même étude également menée sur les hommes
Après avoir réalisé ce qui deviendra probablement « la plus grande étude du 21e siècle », le chercheur Juan-Carlos de la Mendoza Pepito se penche maintenant sur le cas des hommes. Les 5% de femmes restantes sont d’ailleurs actuellement en sueur pour savoir si leur mari préfère manger que d’avoir du sexe. Mais les chercheurs sont d’ores et déjà inquiets du résultat puisque la plupart des hommes préfèreraient la bière au sexe. 78% des hommes pour être exact, plaçant le sexe en deuxième position juste devant les consoles. Une étude qui nous en dit beaucoup sur la société et les moeurs de notre monde d’aujourd’hui.
Et Joyeux 1er Avril.
Photos : À quoi ressemblait la femme marocaine 100 ans auparavant ?
Kenza Soulaymani
PAR KENZA SOULAYMANI
Vous vous êtes déjà demandés à quoi pouvait bien ressembler la femme marocaine il y a 100 ans ? Certainement oui, et par chance, nous avons de quoi assouvir cette curiosité.
Il y a un siècle, la femme marocaine était bien différente de celle qu’on croise au quotidien. C’était l’époque qui ne relève pas d’un passé lointain toutefois, la curiosité est grande de connaître cette femme qui était la maman de notre maman et vous en convenez tous. Endurcie par les aléas d’une vie dure et animée par un grand sens de la responsabilité familiale, notre ancêtre est devenue emblématique par son endurance et son humilité débordante.
Ces images immortalisées entre 1912 et 1926 nous viennent du site officiel du musée français Albert Kahn. Des photos aussi exceptionnelles que rares. Regardez !
Quartier du Mellah, Fès
Portrait de la femme d’un tirailleur sénégalais, Fès
Une femme et un petit garçon berbères, Meknès
Une esclave soudanaise, Settat
Deux femmes Meknèsi
Groupe de femmes, Meknès
Deux marocaines juives, Sidi-Kacem
Groupe de femmes marocaines, Meknès
Femmes d’Agadir filant de la laine, Marrakech
Femme à dos de mule avec son enfant, Fès
Portrait d’une femme marocaine, Fès
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Kenza Soulaymani
Kenza Soulaymani
Journaliste et Social Media Manager chez Welovebuzz.
Les femmes à l’honneur au musée MACMA Du samedi 1 juillet 2017, au jeudi 30 novembre 2017 3 Vous êtes… Read moreRead more EXPO: Femmes sous les pinceaux des peintres marocains