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août 8, 2019

MARRAKECH DEROULE LE TAPIS ROUGE AU CINEMA MAROCAIN

MARRAKECH DEROULE LE TAPIS ROUGE AU CINEMA MAROCAIN
Rédigé par : – 8 août 2019

La 18ème édition du Festival International du Film de Marrakech, qui se tiendra du 29 novembre au 7 décembre 2019, mettra fortement en valeur le cinéma marocain.

C’est désormais l’un des temps forts, réguliers et incontournables, du Festival international du film de Marrakech. A l’instar de la précédente édition, celle de 2019 réserve une place centrale au cinéma national à travers la section « Panorama du cinéma marocain », qui présente une sélection des meilleurs films d’auteurs marocains de l’année.

L’année dernière, cette section avait connu une très forte affluence du public et suscité un grand intérêt auprès des professionnels étrangers et des représentants de la presse internationale. Pour l’occasion, la fondation du Festival avait en effet invité de nombreux directeurs et programmateurs de grands festivals internationaux, qui ont ainsi pu découvrir plusieurs productions nationales. Depuis le début de l’année, plus d’une soixantaine de festivals dans le monde ont programmé des films marocains, participant ainsi au rayonnement et au développement du cinéma national.

Le cinéma marocain sera également présent dans les principales sections du festival. Un film marocain figurera, cette année encore, dans la compétition officielle. Il sera annoncé ultérieurement, en même temps que la sélection officielle, début novembre.

Dévoilé en première mondiale lors du dernier festival de Cannes, ADAM, le film de Maryam Touzani, sera quant à lui présenté en séance de gala. A noter que depuis sa première projection à Cannes, le film fait une brillante carrière dans les festivals internationaux (Karlovy Vary, Durban, etc.).

Comme chaque année depuis le démarrage du Festival, un hommage sera également rendu à une grande personnalité marocaine. L’occasion de mettre en lumière une filmographie qui aura marqué l’histoire du cinéma national et de faire découvrir aux nouvelles générations une partie du riche patrimoine cinématographique national.

Un film marocain sera également présenté dans la section Cinéma en Audio Description à destination des spectateurs malvoyants, un programme à vocation sociale auquel la Fondation du festival est fortement attachée. Les spectateurs de la place Jemaa El Fna auront, eux aussi, l’occasion de découvrir un grand succès populaire marocain, en présence de l’équipe du film.

Cette année verra également la reconduction du programme « Les Ateliers de l’Atlas ». Une nouvelle initiative lancée en 2018 à destination des professionnels marocains et de la région. Le programme industrie et développement de talents a connu un grand succès auprès des réalisateurs, auteurs et producteurs qui y ont pris part.

8 projets en développement et 6 films en post-production en provenance du Maroc, du Moyen Orient et d’Afrique ont ainsibénéficié de consultations par 17 professionnels internationaux, avant d’être présentés devant les professionnels présents, donnant ainsi lieu à plus de 200 rendez-vous individuels.

Cette 18ème édition promet donc d’œuvrer encore plus fortement au rayonnement et au développement du cinéma national !

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décembre 2, 2018

Le Festival International du Film de Marrakech rend un vibrant hommage à Robert De Niro

Le Festival International du Film de Marrakech rend un vibrant hommage à Robert De Niro
Publié par: Maroc diplomatique avec MAP Date: 02 décembre, 2018Dans:A LA UNE, Culture
Le Festival International du Film de Marrakech rend un vibrant hommage à Robert De Niro
Il réunit toutes les qualités qui l’érigent au rang des grands du monde du 7ème art: acteur hors-pair, réalisateur talentueux et grand producteur. Il s’agit bien de l’inégalable Robert De Niro. La star américaine qui demeure sans conteste le monstre sacré du Grand écran qui, à la faveur de son talent et de son son génie créatif et novateur, est de loin l’une des plus grandes étoiles qui continuent d’illuminer le cinéma mondial.
Grand perfectionniste, Robert De Niro, un homme à la carrière fort exceptionnelle, a su graver son nom en lettres d’or dans l’Histoire du 7ème Art et dans les mémoires des cinéphiles qui ne cessent de le réclamer dans les quatre coins de la planète.

Né le 17 août 1943 à New York, Ce Grand Monsieur du Cinéma, à qui un hommage des plus appuyés a été rendu samedi soir dans l’enceinte du Palais des Congrès de la cité ocre, en lui décernant l’Etoile d’or du Festival International du Film de Marrakech, ne laisse rien au hasard et ne connaît pas de limites dans son interprétation, toujours avec brio, des innombrables rôles qu’il a campés tout au long de sa riche carrière cinématographique.

Selon lui, le corps est l’instrument de l’acteur qu’il faut maîtriser au point que la recherche, les répétitions, la préparation pour chaque rôle qu’il joue relèvent chez lui de l’obsession. De ce fait, ce grand prodige peut modeler son corps à loisir avant de lui faire reprendre sa forme antérieure. Ainsi, à chaque rôle interprété, il se réinvente et joue d’un autre instrument afin de faire vibrer le Grand écran différemment à chaque fois.

Aussi, De Niro ne cesse-t-il de réinterpréter ses rôles en y apportant toujours quelque chose de neuf au grand plaisir de ses millions de fans éparpillés dans les quatre coins du monde.

A travers son talent avéré, il a réussi à créer de nombreux personnages qui sont désormais inscrits dans l’inconscient collectif et dans l’Histoire du cinéma, car de l’avis de tous, cet acteur inqualifiable, qui ose tout, permet au public de voir le monde à travers ses yeux.

Ainsi, les personnages de Robert De Niro recherchent, provoquent la transgression car ils ont besoin d’être hors d’eux-mêmes pour retrouver leur être profond.

Connue pour sa fine et minutieuse observation psychologique des personnages, Robert De Niro est également reconnu pour son fort engagement dans ses divers rôles et son travail d’interprétation physique de ses personnages : il prend près de 30 kg et apprend à boxer pour son interprétation de Jake LaMotta dans “Raging Bull”; il apprend à jouer du saxophone pour “New York, New York”; il se prépare pour “Taxi Driver” en conduisant un taxi de nuit pendant plusieurs semaines pour ne citer que cela.

Dans ce sens, ses innombrables collaborations avec les plus grands réalisateurs de la planète comme Martin Scorsese, son vieil ami et complice dont il est devenu l’acteur fétiche, Francis Ford Coppola, Brian de Palma, Elia Kazan, Sergio Leone, Bernardo Bertolucci, Michael Cimino, Michael Mann ou encore Quentin Tarantino l’ont définitivement établi parmi les acteurs les plus célébrés et les plus reconnus dans le monde entier.

Acteur, réalisateur et producteur aux multiples talents, Robert De Niro a entamé sa carrière sous la direction de Brian De Palma avec un premier rôle fort remarqué dans “The wedding Party” en 1969, mais c’est dans “Mean Streets”(1973), sous l’impulsion de Martin Scorsese, que le talent de cette icône hollywoodienne apparaît au grand jour.

→Lire aussi: Les femmes en vedette à la 17è édition du Festival international du film de Marrakech

En 1974, il remporta ainsi l’Oscar du meilleur second rôle pour son interprétation du jeune Vito Corleone dans “Le Parrain II” de Francis Ford Coppola, aux côtés d’un autre Seigneur du monde du Cinéma en l’occurrence Al Pacino.

Mais c’est l’indémodable “Taxi Driver” du grand Martin Scorsese (Palme d’or 1976) qui l’installe définitivement dans la Cour des grands et lui permet d’obtenir une nouvelle nomination aux Oscars. C’est de nouveau le cas en 1979 avec “Voyage au bout de l’enfer” de Michael Cimino.

En 1981, il obtient un nouvel Oscar et un Golden Globe pour son interprétation habitée du champion de boxe Jake La Motta dans “Raging Bull” de Martin Scorsese, avant que les sacres ne se suivent par la suite pour confirmer ce talent inestimable.

Parallèlement à sa riche carrière d’acteur avec une filmographie des plus impressionnantes, qui lui a valu de nombreuses récompenses et prix, Robert De Niro est aussi à la tête de Tribeca Productions et l’un des fondateurs du Tribeca Film Festival (New York).

Grand habitué du Maroc et de la ville de Marrakech, où il s’est rendu à plusieurs reprises, Robert De Niro a fait part de son amour à l’égard de ce pays légendaire et très accueillant.

“Même si je me suis rendu à Marrakech à de nombreuses reprises, je sens que je m’apprête à voir un autre visage de la ville. Un visage que j’ai toujours voulu découvrir”, avait-déclaré. “Je suis très reconnaissant pour cette invitation et j’ai hâte de prendre part à ce grand Festival”, avait-il ajouté.

Ce témoignage fort éloquent de cet amour et grande estime pour le Royaume a été très palpable lors du vibrant hommage qui lui a été rendu, samedi soir dans la cité ocre, en présence d’un aréopage de grandes vedettes nationales, arabes et internationales et d’un public enthousiasmé, dont certains chanceux ont pu le saluer de près ou se prendre en “selfie” avec lui avant qu’il ne foule le tapis rouge du Palais des Congrès pour assister à cette cérémonie d’hommage, au cours de laquelle il a salué avec une grande émotion bien visible, les larmes aux yeux, tout le monde, tout en exprimant sa grande joie pour “l’accueil chaleureux et la grande hospitalité” du peuple marocain.

Il a aussi exprimé ses vifs remerciements à SM le Roi Mohammed VI et à SAR le Prince Moulay Rachid, d’avoir établi des ponts de rapprochement culturel entre les pays, soulignant que le Festival international du Film de Marrakech constitue une des messes cinématographiques les plus importantes pour les communautés.

Avec ce grand hommage à une légende vivante du cinéma, qui a toujours soutenu que l’art ne connaît pas de racisme, n’exclut pas les gens, et célèbre la diversité des origines et des idées, loin de toute référence ethnique, religieuse ou politique, et qui a reçu en novembre 2016 la médaille présidentielle de la Liberté par l’ancien président américain Barack Obama, le Festival International du Film de Marrakech reste fidèle à sa vocation d’être un carrefour cinématographique incontournable, alliant notamment l’exigence de sa programmation, l’audace de ses découvertes, le professionnalisme de ses projections, le partage de sa passion, la chaleur de son public et la qualité des hommages rendus.

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décembre 1, 2018

Revivez la cérémonie d’ouverture de la 17e édition du FIFM

Revivez la cérémonie d’ouverture de la 17e édition du FIFM
Le FIFM revient en force après un an d’interruption.
Par Salma Khouja

FIFM/SIFE ELAMINE
CINEMA – Le rendez-vous que les cinéphiles Marocains attendaient. Ce vendredi 30 novembre a marqué le “comeback” du Festival International du Film de Marrakech. Un évènement qui fait un retour sous le signe de la nouveauté. Nouveau coordinateur, nouveau directeur artistique…

Ali Hajji, coordinateur du festival, a d’ailleurs lui même insisté, sur le tapis rouge, sur les innovations de cette année, notamment les séances “Conversations avec…”, les Ateliers de l’Atlas, dédiés aux professionnels du cinéma, et la projection de sept films marocains…

Du neuf également dans la sélection presque entièrement constituée de premières ou secondes oeuvres: “Un cinéma osé et de qualité avec un niveau de maîtrise assez impressionnant”, explique le directeur artistique du festival, Christoph Terhechte. Une sélection qui compte cette année 6 femmes sur les 14 films sélectionnés. Une parité presque atteinte.

La parité a cependant été largement dépassé du côté du jury. Présidé par James Gray, habitué du festival dont il était déjà membre du jury en 2016, il est composé cette année de cinq femmes et quatre hommes.

Un jury majoritairement composé de femmes
James Gray est ainsi accompagné cette année par l’actrice indienne Ileana d’Cruz (Barfi!), la cinéaste marocaine Tala Hadid (House in the fields), la cinéaste et plasticienne libanaise Joana Hadjithomas (Je veux voir), l’actrice américaine Dakota Johnson (Bad Times at El Royale, Suspiria, La trilogie Fifty Shades) et la réalisatrice britannique Lynne Ramsay (We need to talk about Kevin, A Beautiful Day).

L’acteur allemand Daniel Brühl (Good Bye Lenin!), le réalisateur français Laurent Cantet (Entre les murs – Palme d’or 2008) et le réalisateur mexicain Michel Franco (Les Filles d’Avril) complètent le jury de l’année 2018. Daniel Brühl dont la galanterie n’est pas passée inaperçue pendant la cérémonie d’ouverture, quand ce dernier a aidé sa collègue Ileana d’Cruz à accéder à l’estrade.

Dakota Johnson était l’indéniable touche glamour du tapis rouge cette année. L’actrice a pour l’occasion arboré une robe à bretelles rose pale Gucci, marque dont elle est l’ambassadrice.

Le tapis rouge a également vu défiler acteurs marocains et égyptiens. La superstar égyptienne Youssra a notamment ravi le public en prenant de nombreux selfies avec la foule présente devant le palais des congrès.

Le cinéma est la chose la plus proche d’une fenêtre à une autre conscience
Au cours de son discours, le président du jury, James Gray, n’a pas manqué de faire référence à l’administration Trump et la réputation actuelle des Américains à travers le monde. “En tant qu’Américain, j’ai la responsabilité d’au moins essayer de représenter notre meilleur côté. Celui ouvert aux autres, plein d’espoirs et éclairé. Pour moi, le cinéma est la chose la plus proche d’une fenêtre à une autre conscience”.

FIFM/SIFE ELAMINE
Le festival a, comme à son habitude, inauguré cette édition avec la projection d’un film inédit au Maroc. Cette année c’est Julian Schnabel et son “Eternity’s Gate” qui a ouvert de le bal.

Un film qui raconte les dernières années de la vie Van Gogh, sa descente dans la folie mais aussi sa fièvre créatrice.On appréciera l’ironie dans la projection d’un film ayant comme sujet l’archétype même de l’artiste maudit reconnu après sa mort, devant une foule d’artistes reconnus et célébrés de leur vivant.

“Eternity’s Gate” est porté par un Willem Dafoe habité et une pléiade d’acteurs américains (Oscar Isaac) et européens (Mathieu Amalric, Rupert Friend, Mads Mickelsen, Emmanuelle Seigner, Vincent Perez, …). Filmé caméra au poing, le film délivre une vision inédite de l’artiste, au plus près des visages et des oeuvres, marqué par de longues scènes de dialogue.

Willem Dafoe excelle dans le film avec une performance qui en fait déjà un des noms les plus cités pour l’Oscar du meilleur acteur.

La projection semble confirmer le virage “auteur’ pris par le festival ces dernières années. “Avant, on nous disait que c’était des strass et des paillettes et maintenant on prouve que l’on est capable de faire les deux”, expliquait déjà en 2017 le directeur du Centre cinématographique marocain, Sarim Fassi-Fihri, au HuffPost Maroc.

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octobre 1, 2018

Pour son retour, le FIFM s’offre la présence à Marrakech de Robert De Niro

Dernière réalisation de l’acteur de 75 ans, le film “The Irishman” de Martin Scorsese, dont la sortie est prévue pour 2019, rassemblera Robert De Niro, Al Pacino, Jesse Plemons et Anna Paquin, pour ce qui promet d’être un grand moment de cinéma. Président du jury du Festival de Cannes en 2011, la présence de Robert De Niro à Marrakech témoigne de l’estime et de la confiance qu’il porte au royaume et au FIFM. La venue attendue de l’acteur au sourire en coin et au style inimitable va faire frétiller d’impatience les cinéphiles. 

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mai 30, 2018

Le Festival international du film de Marrakech confirme son retour pour 2018

Le Festival international du film de Marrakech confirme son retour pour 2018

Par: Sara BOUISRI  

NEWS Bonne nouvelle ! Après avoir été annulé en 2017, le Festival international du film de Marrakech (FIFM) sera de retour le 30 novembre 2018.

C’est Sarim Fassi Fihri, président du Centre cinématographique marocain (CCM) et vice-président délégué de la Fondation du FIFM qui confirme cette nouvelle, en annonçant la date de l’évènement : “Le festival se tiendra à partir du vendredi 30 novembre 2018“.  Aucune autre information ne sera donnée. Il faudra attendre d’ici fin juin pour en savoir un peu plus sur le festival.  

L’édition 2017 du festival annulée

Souvenez-vous, l’été dernier la Fondation du FIFM avait pris l’initiative d’annuler l’édition 2017 du festival. Dans un communiqué, la fondation avait expliqué que cette soudaine décision avait été prise “pour permettre au festival d’aller de l’avant dans sa mission non seulement de promotion de l’industrie cinématographique marocaine, mais aussi d’ouverture vers les autres cultures, réalité incontournable de l’universalité du Septième Art”. “Cette période sera mise à profit pour définir et impulser une dynamique de changement destinée à mettre en œuvre une nouvelle organisation et de nouveaux outils qui prennent en compte l’évolution effrénée du monde digital, pour mieux servir la vision et les objectifs du festival”, ajoute-elle.

Face à ce renouvellement , le président du CCM prend l’exemple du festival de Cannes et la Mostra de Venise pour justifier le choix de la fondation du FIFM. Car ces deux grands festivals de cinéma ont eux aussi eu besoin de changer de direction artistique pour s’aligner au monde numérique.

Photo : DR

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juillet 1, 2017

Le festival du film de Marrakech 2017 annulé

Culture Grande surprise. Le Festival international du film de Marrakech (FIFM) a décidé de surseoir à la tenue de l’édition… Read moreRead more Le festival du film de Marrakech 2017 annulé

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