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Tag: Leïla Alaoui

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février 1, 2019

Que faire le week-end du 1er au 3 février ?

Que faire le week-end du 1er au 3 février ?
Par Anne-Marie Kraus Publié le 01/02/2019 à 11:55
LE CHÂTEAU AMBULANT
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Parmi nos recommandations ce week-end : manger des crêpes évidemment, mais aussi parcourir les vides-dressings, faire un hammam en soirée, ou encore, retourner voir “Le Château ambulant” au cinéma, 14 ans après sa sortie en salle.
Parmi nos recommandations ce week-end : manger des crêpes bien évidemment, mais aussi parcourir les photos de Leila Alaoui au musée Yves Saint Laurent, faire un hammam suivi d’un massage en soirée, ou encore, retourner voir “
L’INCROYABLE HISTOIRE DU FACTEUR CHEVAL ” au cinéma le mégarama, Fin XIXe siècle, à la veille des premières expositions universelles, un facteur ordinaire de la Drôme, Joseph Ferdinand Cheval, va construire pour sa fille Alice, à la force de ses mains durant 33 ans d’épreuves, le Palais Idéal, premier monument d’art naïf. Durée : 01:45:00
Genre : Histoire
Réalisé par : Nils Tavernier
Acteurs : Jacques Gamblin, Laetitia Casta, Aurélien Wiik, Alain Blazquez, Thomas Baillet, Zélie Rixhon, Florence Thomassin, Natacha Lindinger

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octobre 23, 2018

«Les Marocains» de Leila Alaoui offerts gratuitement au public

SOCIÉTÉ
«Les Marocains» de Leila Alaoui offerts gratuitement au public
Par Stéphanie JACOB | Edition N°:5373 Le 17/10/2018 | Partager
L’initiative du Musée Yves Saint Laurent Marrakech
Une exposition gratuite et une première pour le musée
Une trentaine de portraits dont des inédits
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Des femmes, des hommes et des enfants. Au total, une trentaine de portraits pour l’exposition temporaire et gratuite «Les Marocains» de Leila Alaoui au Musée Yves Saint Laurent de Marrakech, du 30 septembre 2018 au 5 février 2019 (Ph. L. Alaoui)

Des photographies dont l’éclat est lui toujours là. Une exposition de Leila Alaoui est forcément un grand moment. D’autant plus quand elle se passe à Marrakech, ville où elle a grandi et où elle repose aujourd’hui.

Du 30 septembre 2018 au 5 février 2019, le Musée Yves Saint Laurent de Marrakech organise une exposition temporaire de la série «Les Marocains» signée par cette photographe franco-marocaine qui a tragiquement succombé à ses blessures après l’attentat de Ouagadougou voilà presque 3 ans.

Pour permettre à tout le monde d’admirer l’un de ses derniers projets, réalisé entre 2010 et 2014, l’accès à la salle est gratuit via une entrée dédiée, rue Al Houdhoud, pendant toute la durée de l’exposition. C’est une première pour le musée.

Car ces portraits font un peu partie du patrimoine et ce regard de la photographe sur ses concitoyens appartient à tous. Ils permettent de voir à quel point la pluralité culturelle est de mise au Maroc. Elle-même disait «puisant dans mon propre héritage, j’ai séjourné au sein de diverses communautés et utilisé le filtre de ma position intime de Marocaine de naissance pour révéler, dans ces portraits, la subjectivité des personnes que j’ai photographiées».

Au total, une trentaine de portraits sont à découvrir, dont certains sont inédits. Des femmes, des hommes et des enfants rencontrés par Leila durant son road trip marocain, avec pour bagage son studio mobile. Leurs mains sont burinées, leurs visages sont souvent graves, pendant que leurs vêtements racontent eux aussi une partie de l’histoire. Mais ce qui reste en tête surtout, ce sont ces regards.

Les yeux fixes et profonds de ceux que la photographe a choisis pour modèles. Voilà tout l’attrait du portrait. Frontal pour celui qui prend la pause comme pour celui qui regarde. La série «Les Marocains» avait déjà été admirée à la Maison européenne de la photographie à Paris, entre novembre 2015 et janvier 2016.

«Leila Alaoui faisait partie de ces gens engagés qui n’hésitent pas à parcourir le monde pour venir au secours des autres, pour témoigner, et c’est là ce qu’elle a fait de plus beau», disait Pierre Bergé à l’occasion de la remise à Leila Alaoui, à titre posthume, de l’insigne de Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, le 14 avril 2017 à Marrakech.

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octobre 11, 2018

LES MAROCAINS PAR LEILA ALAOUI

LES MAROCAINS PAR LEILA ALAOUI
Tamesloth, 2011
« Leila Alaoui faisait partie de ces gens engagés qui n’hésitent pas à parcourir le monde pour venir au secours des autres, pour témoigner, et c’est là ce qu’elle a fait de plus beau. Ses convictions étaient profondes. La manière dont elle a disparu justifie le combat que j’ai mené toute ma vie pour la tolérance. « Quand je cesserai de m’indigner, j’aurai commencé ma vieillesse » : c’est à André Gide que je pense, lorsque je me souviens de Leila Alaoui*» disait d’elle Pierre Bergé. Leila a succombé à ses blessures le 15 janvier 2016 lors d’un attentat à Ouagadougou. « Les Marocains » est l’un de ses derniers projets. Au sujet de cette série, Leila expliquait : « puisant dans mon propre héritage, j’ai séjourné au sein de diverses communautés et utilisé le filtre de ma position intime de Marocaine de naissance pour révéler, dans ces portraits, la subjectivité des personnes que j’ai photographiées ». Cette exposition présentée au Musée Yves Saint Laurent est l’occasion de voir une trentaine de portraits de «Marocains», dont certains inédits.

Melloussa, 2010

Musée Yves Saint Laurent
Entrée gratuite.
Jusqu’au 5 février 2019

*Extrait du discours prononcé par Pierre Bergé à l’occasion de la remise à Leila Alaoui, à titre posthume, de l’insigne de Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres, le 14 avril 2017 à Marrakech.

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mai 3, 2018

Vernissage à Dar Moulay Ali

UNE FRAGILE POÉSIE CAMILLE LEPAGE, LEILA ALAOUI

Du 
 Jeudi 03 mai
 
 19:00

Au 
 Samedi 28 juil.
 
 19:00

Commissaire d’exposition : Guillaume de Sardes

Camille Lepage et Leila Alaoui ont choisi de témoigner de la dureté du monde à travers la photographie. Cet engagement leur a coûté la vie. Camille Lepage est décédée en mai 2014, alors qu’elle faisait un reportage sur l’exploitation diamantaire en République centrafricaine ; Leila Alaoui en janvier 2016 au Burkina Faso, où elle réalisait une série d’images pour Amnesty International. La première avait vingt-six ans, la seconde en avait trente-trois. L’une et l’autre sont mortes par balles.
En dépit d’une vie écourtée, les deux jeunes femmes ont eu le temps de laisser derrière elles une œuvre. Des photographies souvent difficiles à regarder, parce qu’elles témoignent de tragédies. Camille Lepage, photojournaliste engagée, a documenté les conditions de vie difficiles des populations dans les Monts Nouba au Soudan, au Soudan du Sud et en République centrafricaine. Leila Alaoui s’est elle intéressée aux déshérités de Jordanie et du Maroc, ainsi qu’aux réfugiés syriens au Liban.
Au fil des images, des exilés, des morts, des blessés, des malades, des estropiés, des enfants souvent. La réalité crue. Mais il est frappant que Camille Lepage et Leila Alaoui aient su aussi saisir au milieu de ce chaos de brefs instants de délicatesse, des moments fragiles de poésie.
L’exposition rend hommage à deux jeunes femmes qui ont su saisir la beauté dans ce qu’elle a de plus inattendu parce qu’elle était aussi dans leur regard.

Vernissage le 3 mai à 19h : lors de la Journée Internationale de la liberté de la presse

En partenariat avec : 

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février 11, 2017

L’Institut français de Marrakech inaugure un cinéma Leïla Alaoui

L’Institut français de Marrakech inaugure un cinéma Leïla Alaoui
Par Aïda BOUAZZA | Edition N°:4952 Le 02/02/2017 | Partager
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L’Institut français de Marrakech rend hommage à la photographe et vidéaste franco-marocaine Leïla Alaoui en inaugurant le 14 février prochain le «Cinéma Leïla Alaoui», en présence de Christine Alaoui, présidente de la Fondation Leïla Alaoui, de Eric Gérard, consul général de France à Marrakech et de Christophe Pomez, directeur de l’Institut français de la ville ocre. Durant cette soirée, les passionnés pourront découvrir deux films. «L’avenir», de la réalisatrice Mia Hansen-Løve (Ours d’Argent de la meilleure réalisatrice de la Berlinale 2016, avec l’actrice Isabelle Huppert), sera présenté par Serge Toubiana, journaliste et critique de cinéma.

Suivra une projection du film «Tour de France» de Rachid Djaïdani, réalisateur et ami proche de Leïla Alaoui. Une programmation qui annonce l’engagement de cet espace dans une nouvelle dynamique à travers la diffusion de la programmation Ciné France-Maroc mettant à l’honneur le cinéma français contemporain. D’ailleurs, la programmation du cinéma sera triplée, en passant de 2 séances hebdomadaires en 2016 à 6 séances en 2017. Le cinéma Leïla Alaoui sera également ouvert sur le cinéma du monde, proposera des retransmissions d’Opéra du Festival d’Aix et projettera également des films documentaires.

Par ailleurs, cette initiative a pour ambition de rester fidèle au travail de l’artiste qui s’est intéressée à la «construction d’identité et aux diversités culturelles» en développant l’éducation au cinéma et à l’image, permettant à chacun et chacune de construire son identité culturelle à travers le 7e Art. Pour plus d’information concernant la programmation, rendez-vous sur le site www.cinemaleilaalaoui.ma.

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