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décembre 20, 2019

La Mamounia reste 100% marocain, création d’un méga fonds

La Mamounia reste 100% marocain, création d’un méga fonds
20 décembre 2019

OCP, l’ONCF, et le Fonds Hassan II pour le Développement Economique et Social s’associent pour créer un Pôle Hôtelier National au Maroc. Cette alliance inédite vise à promouvoir l’excellence hôtelière haut de gamme, vitrine du patrimoine et du savoir-faire marocains, au service de l’attractivité du pays et de sa renommée internationale. Cette alliance s’inscrit pleinement dans le cadre des orientations royales portant sur les mesures de restructuration de certains établissements et entreprises publics. Ces mesures doivent permettre au secteur public de consolider ses capacités d’investissement, à travers la préparation d’une nouvelle génération de plans sectoriels, cohérents et harmonieux et au lancement de nouveaux programmes d’investissements productifs, créant de nouvelles opportunités d’emplois.

LA CRÉATION D’UN PÔLE HÔTELIER NATIONAL D’EXCELLENCE

Pour accompagner le développement d’un secteur à fort potentiel de croissance et d’emplois pour l’économie marocaine, OCP, l’ONCF et le Fonds Hassan II annoncent une alliance dans le domaine hôtelier haut de gamme pour créer un acteur de référence.

Ces acteurs majeurs de l’économie du Maroc unissent leurs expertises pour bâtir un Pôle Hôtelier National, dont la vocation sera de renforcer et développer l’excellence hôtelière marocaine au service de l’attractivité du pays et de sa renommée internationale. Ce Pôle comprendra des actifs hôteliers historiques du Maroc, détenus et développés jusqu’à présent par l’ONCF : la Mamounia à Marrakech, qui fêtera son centenaire en 2023, et le Palais Jamai, hôtel emblématique de la ville de Fès fondé en 1879.

Il comprendra également Le Michlifen à Ifrane et son parcours de Golf de montagne unique en Afrique, et le Marchica Lagoon Resort, nouveau fleuron hôtelier de la région de l’Oriental. Ce partenariat permettra de développer ces joyaux de l’hôtellerie nationale, en maintenant une gouvernance 100% marocaine et en générant de nouvelles opportunités de croissance dans l’hôtellerie haut de gamme.

UN PROJET AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT DES TERRITOIRES ET DE L’EMPLOI

Cette alliance réunit toutes les compétences pour permettre de soutenir un secteur d’activité stratégique pour le Maroc, en plein essor, et pour accompagner sa croissance durable. OCP conforte sa stratégie d’investissement dans le développement et la professionnalisation de l’hôtellerie marocaine, un secteur dans lequel l’entreprise est déjà engagée à travers les actifs hôteliers qu’elle détient dans ses régions d’implantation et qu’elle compte déployer en lien avec ses projets d’aménagement urbain et de développement de villes nouvelles.

Ce nouveau Pôle Hôtelier complètera donc cette activité avec une offre haut de gamme, en synergie avec l’engagement d’OCP visant à professionnaliser ce secteur en forte croissance et créateur d’emplois, dans le cadre d’une nouvelle filière de formation dédiée aux métiers de l’hôtellerie à l’Université Mohammed VI Polytechnique, et en partenariat avec les établissements internationaux les plus prestigieux.

Dans sa mission d’appui aux projets d’envergure au service du développement du Maroc, le Fonds Hassan II poursuit son accompagnement du secteur touristique, auquel il contribue déjà par un soutien financier. Il intervient également en tant qu’investisseur dans l’aménagement du site de la lagune à Marchica, laquelle intègre des resorts hôteliers de luxe. Par ailleurs, le Fonds Hassan II est impliqué dans la préservation du patrimoine architectural marocain, à travers notamment son soutien de la transformation de ksours & kasbahs en hôtels de luxe, ou encore dans le cadre de la réhabilitation de 8 Médinas. Au sein de cette alliance, il jouera également un rôle de conseil et d’orientation quant à la stratégie de développement à long-terme des investissements de ce secteur hôtelier stratégique et qui fait la fierté des marocains.

L’ONCF contribuera au succès de la mise en place de cette alliance en continuant à accompagner ce projet d’envergure, notamment en partageant son savoir-faire historique dans l’hôtellerie de luxe, dont l’excellence a été reconnue encore récemment au niveau international, puisque La Mamounia a été élue « Meilleur Hôtel du Monde » par le magazine Condé Nast Traveler en 2018. Le transfert par l’ONCF de ses actifs hôteliers dans le cadre de cette alliance s’inscrit pleinement dans sa feuille de route stratégique de valorisation de patrimoine et lui offrira de nouvelles opportunités de redéploiement de ses capacités d’investissements dans le secteur ferroviaire

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octobre 26, 2018

La Mamounia privatisée en 2019? 

La Mamounia privatisée en 2019?
Vendredi 26 octobre 2018 à 13h50
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La Mamounia privatisée en 2019?

Le secrétariat général du gouvernement a finalisé un avant-projet de loi modifiant la liste des entreprises publiques privatisables. Le PLF (projet de loi de Finances) 2019, prévoit 5 MM DH de recettes de privatisation.

Ce projet de loi sera examiné lors d’un prochain conseil de gouvernement.

La nouvelle liste intègre l’hôtel La Mamounia à la liste des privatisables, ainsi que la centrale thermique Tahaddart. Les modalités de la privatisation éventuelle ne sont évidemment pas indiquées. Il pourrait d’ailleurs s’agit d’une privatisation partielle. L’avant-projet de loi n’exclut pas une cession à des opérateurs nationaux ou étrangers capables de développer ces unités et de lancer des développements stratégiques.

La loi 34.98 (Dahir 1.99.131 du 13 mai 1999) autorise le changement de la liste des privatisables.

Elle élimine de cette liste les entreprises suivantes, qui donc ne figurent plus sur la liste des privatisables:

-CIH Bank

-Cotef

-Sococharbo

-BTNA (fabrication de tuiles et briques)

-SCS (Société chérifienne des sels).

-Hôtels Ibn Toumert et Asmaa.

Selon la présentation de l’avant-projet de texte, les cinq entreprises retirées de la liste n’ont pas pu, pour diverses raisons, être cédées au privé.

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octobre 22, 2018

Awards 2018

Awards 2018 : le meilleur hôtel en Afrique se trouverait au Maroc !
Par Fadwa BennaniFadwa Bennani
il y a environ 23 heures
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Crédit photo : Royal Mansour Marrakech
Le luxueux établissement hôtelier de Marrakech, le Royal Mansour, a remporté une nouvelle fois le Grand Prix 2018 du meilleur hôtel d’Afrique lors de la 16e édition des Prix Villégiature Awards qui s’est tenue aux salons historiques du Château de Ferrières.

Composé de 23 journalistes de la presse mondiale, le jury du Prix Villégiature Awards a nommé le Royal Mansour meilleur hôtel d’Afrique parmi plusieurs autres établissements, à savoir La Mamounia de Marrakech, La Badira de Hammamet en Tunisie), Island Resort au Lac Tanganyika en Tanzanie, Sofitel Rabat Jardin des Roses et Hôtel Tigmiza de Marrakech.

Crédit photo : Royal Mansour Marrakech
Ce n’est pas la première distinction du genre pour le luxueux hôtel, en 2015, l’établissement a été sacré meilleur hôtel en Afrique par Villégiature Awards. En 2018, le Royal Mansour a raflé pas mal de récompenses à l’instar du Forbes Travel Guide, le prix du Happy Guest Awards ou encore le prix du World’s Most Prestigious Venue.

Les Villégiature Awards récompensent chaque année, depuis 2003, les plus beaux hôtels d’Europe, d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.

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septembre 12, 2018

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)
Il fera rayonner le savoir-faire marocain dans le monde.
Par Yasmine Bidar

ASMA
Abdelghafour Sadik, sommelier à La Mamounia depuis 2015, élu meilleur sommelier du Maroc.
ART DE VIVRE – Niché le long des contreforts de l’Atlas, le célèbre Château Roslane, premier château vitivinicole AOC au Maroc, a accueilli, lundi 10 septembre, la deuxième édition du Trophée Château Roslane du meilleur sommelier du Maroc, organisée par l’Association des sommeliers du Maroc (ASMA). Neuf jeunes chantres du vin ont pris part à une journée d’épreuves théoriques et techniques pour décrocher ce précieux titre, sous l’oeil aguerri d’un jury très sélect.

Ils sont marocains, exercent dans les plus prestigieux hôtels, palaces et restaurants du royaume, sont autodidactes ou encadrés par de grands sommeliers et sont animés par une passion du vin qu’ils ont renforcée au fil d’expériences et d’opportunités. Parmi eux, des finalistes malheureux de l’édition précédente qui se remettent en selle pour succéder à Zakaria Wahby, premier lauréat du concours et assistant chef sommelier au Royal Mansour à Marrakech. Mais aussi de nouveaux profils, jeunes et fougueux comme Kamil Essbai, sommelier de 24 ans en service au Sofitel Marrakech ou encore Sabrina Rahmani, superviseur du restaurant Iloli à Casablanca, première femme à participer à la compétition.

Vin, vedi, vici
Les candidats, tirés à quatre épingles et en rang d’oignons devant la salle des épreuves, ont tous conscience de la délicate mission que leur confèrera le statut de meilleur sommelier, soit positionner le Maroc parmi l’élite de la sommellerie internationale. Le stress est à son apogée mais pas d’animosité entre les compétiteurs qui s’entraident pour des révisions de dernière minute. Une fois la porte franchie, ils s’attarderont sur plusieurs épreuves écrites, à savoir un questionnaire théorique, une description organoleptique d’un vin rouge et d’un vin blanc et l’identification de trois spiritueux, tout cela en français, langue officielle de la compétition.

ASMA
“C’était rude, il y avait beaucoup de questions de culture générale très compliquées mais chacun a ses points forts et ses points faibles. Je préfère la pratique et j’espère faire mes preuves si je suis sélectionné pour la finale” nous confie Rabi Ahsina, sommelier au Fairmont Royal Palm de Marrakech et troisième finaliste de la précédente édition. Mais malgré ses efforts, il n’a pas été sélectionné pour la phase finale aux côtés de Abdelghafour Sadik de La Mamounia, El Mokhtar Alia du Royal Mansour et Kamil Essbai.

“On attend de vous que vous ayez cette classe, que vous représentiez la sommellerie” indique aux trois finalistes avant la très redoutée épreuve pratique Serge Dubs, meilleur sommelier de France, d’Europe et du monde dans les années 80 et membre du jury du Trophée.

ASMA
Michèle Chantôme, Serge Dubs et Thierry Collard, membres du jury en pleine correction des épreuves.
De retour dans la salle, ils se succèdent devant le jury et jouent le rôle de chef sommelier d’un restaurant en respectant le protocole inhérent à leur métier. Associations de vins aux mets d’une carte, service d’un vin pétillant, service d’un vin jeune en carafe, analyse de vins et spiritueux… Les finalistes, pleins de prestesse, s’agitent, font valser les liqueurs dans les verres, questionnent leur nez et leur palais et enchaînent des gestes techniques presque chorégraphiques.

Après de longues délibérations (et corrections), le verdict est tombé. C’est Abdelghafour Sadik, numéro deux de l’édition précédente, qui remporte avec succès les épreuves et devient ainsi le meilleur sommelier du Maroc. Le jeune homme a séduit le jury par son élégance naturelle, son odorat très fin et sa connaissance poussée des vins tant marocains qu’étrangers.

FACEBOOK/SOMMELIER DU MAROC
Abdelghafour Sadik, le meilleur sommelier du Maroc 2018 Trophée Château Roslane, entouré par Mr Serge Dubs, meilleur sommelier du monde 1989, parrain et président du jury, Michèle Chantome, présidente de l’association des sommeliers du Maroc et Mikael Rodriguez, chef sommelier de l’hôtel La Mamounia.
“Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici”
Sommelier à La Mamounia à Marrakech depuis 2015, il découvre ce métier lors de ses services en salle à défaut d’avoir fait une formation en école, puisque le métier n’est pas reconnu ici. “J’ai découvert ma passion pour le vin lorsque j’ai commencé à travailler dans l’hôtellerie mais je ne pensais pas en faire un jour ma profession car c’est un métier qui n’est pas facile, avec beaucoup d’obstacles dont l’apprentissage qui n’est pas favorisé ici au Maroc où il n’existe pas d’écoles qui nous y forment” explique au HuffPost Maroc le lauréat.

“J’ai de la chance toutefois car je travaille à La Mamounia, sous les ordres de mon chef sommelier Mikael Rodriguez qui m’a beaucoup appris et qui était professeur de sommellerie en Europe et en France. Pour ce concours, j’ai appliqué strictement les règles que je suis dans mon métier au quotidien, et je pense que ça a plu au jury. Maintenant, avec ce titre, je dois être prêt pour représenter le Maroc comme il faut à l’international” poursuit-il, déterminé.

Il souligne par ailleurs les interdits religieux et les préjugés autour de ce métier qui rendent la tâche un peu plus ardue. “Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici, et c’était aussi assez difficile de l’annoncer à ma famille car consommer de l’alcool, c’est déjà très mal vu alors en être un expert…” confie Abdelghafour, qui souhaite que le métier soit mieux compris au royaume et s’attèlera à en faire la promotion.

Faire rayonner le savoir-faire marocain
Une mission que se donne aussi l’ASMA, chapeautée par l’indéboulonnable Michèle Chantôme, figure du vin au Maroc, qui forme régulièrement dans ses locaux et sur le terrain des jeunes au métier de la sommellerie via des ateliers et des rencontres avec des oenologues et des sommeliers de renom.

Créée par en 2012 par ses soins, l’association a permis au royaume de se doter de la première union de sommeliers d’Afrique et d’intégrer l’élite de la sommellerie internationale qui compte pour l’heure une cinquantaine de pays. “Nous sommes ravis de voir que l’objectif de l’ASMA, qui est de faire connaitre le métier de sommelier au Maroc, est respecté. Nous souhaitons encourager davantage de passionnés à prendre part à notre concours, il y a des talents évidents dans ce pays qu’il faut mettre en lumière” nous explique-t-elle.

ASMA
Même son de cloche du côté de Mikael Rodriguez, chef sommelier de La Mamounia et mentor du gagnant de cette édition. “Certains candidats, comme Abdelghafour, ont la chance d’évoluer dans des établissements hôteliers où il y a une toute une équipe performante et reconnue de sommeliers qui peut les guider, tandis que d’autres doivent apprendre souvent seuls. C’est pour ça que l’ASMA existe, pour pouvoir permettre à ces jeunes autodidactes de se former auprès de professionnels pour comprendre l’histoire du vin, le service, le stockage, la vinification car leur potentiel est énorme. On essaye de leur apporter un peu de notre savoir et avec ce concours, on forme aussi des maîtres de demain, qui perpétueront l’apprentissage” avance-t-il.

Pour l’heure, son petit protégé est déjà prêt à assumer ses responsabilités de meilleur sommelier du Maroc et se dit déterminé à faire rayonner le savoir-faire marocain dans le monde. L’occasion lui sera d’ailleurs donnée en mars prochain à Anvers, au concours du meilleur sommelier d’Europe auquel il participera avec son prédécesseur Zakaria Wahby.

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novembre 22, 2017

Les frères Kibari s’invitent au Grand Casino La Mamounia

Du vendredi 24 novembre 2017, au dimanche 10 décembre 2017 Marrakech est une véritable cité des arts. Elle accueille des artistes… Read moreRead more Les frères Kibari s’invitent au Grand Casino La Mamounia

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mai 6, 2016

Le Ftour By La Mamounia

Le Ramadan approche….

La Mamounia vous propose cette année un ftour exceptionnel dans le somptueux cadre du restaurant Marocain. Un restaurant qui vous emmène au coeur de l’art de recevoir marocain. Les maîtres mots : raffinement, générosité et partage !
Savourez votre ftour dans la fraicheur de la terrasse éclairée de bougies, de lanternes au son de l’eau de la fontaine.. Un véritable plaisir au moment du ftour.
Coté gastronomie, un véritable bal des saveurs s’offre à vous avec différents choix de soupes, de jus et d’autres délices traditionnels. Sans oublier toutes les suggestions de tajines et de plats…bref un concentré de raffinement de saveurs made in La Mamounia au son de la musique de notre trio andalous.
Le Ftour à La Mamounia tous les soirs de Ramadan au Restaurant Marocain de La Mamounia à seulement 400 MAD par personne.
Tel : 05 24 388 600

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