Riad Dar Khmissa Marrakech
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septembre 15, 2019

Les Marocains rendraient-ils un portefeuille perdu ?

Les Marocains rendraient-ils un portefeuille perdu ?
Aujourd’hui je vous donne un peu de lecture en vous posant une question.
Les Marocains rendraient-ils un portefeuille perdu ?
D’aprés plusieurs oui dire, articles, commentaires ect… cela serait un non catégorique.
D’après une étude, le taux de retour est de 40% lorsque les portefeuilles ne contient pas d’argent. Ce taux augmente à 51% lorsque les portefeuilles contient de l’argent.
Les Marocains sont effectivement plus susceptibles de retourner des portefeuilles perdus contenant d’importantes quantités d’argent.
Personnellement j’en ai eu la preuve vivante, encore, hier au soir, lors d’une discution sur la terrasse du riad dar khmissa.
J’ai envie de vous la conter.
Dans la journée du samedi 14 septembre, mes deux clients, Odile et Jean françois se trouvaient prês de la place jemaa el fna où ils regardez un petit bazard, afin d’acheter quelques articles souvenirs. Voulant essayer un tee shirt Jean François enlève sont sac en toile de son épaule un peu rapidement, voulant faire vite, le sac se déchire et bien entendu tous les effets personnel tombèrent au sol. Une charmante dame marocaine, s’empresse rapidement les aider a rassembler leurs affaires et et les disposent dans le sac d’Odile et ils repartent gaiement continuer leurs emplètes. Quelques minutes plus tard, environ une dixaine, voulant acquérir à nouveau un souvenir, ils se rendent malheureusement compte voulant le règler, que le porte monnaie n’est pas présent dans le sac d’Odile. Une grosse prise de panique s’empare d’eux, car dans celui ci, carte bancaire, papiers et billets de banque étaient présent.
Ils retournent donc sur leurs pas pour essayer de le retrouver.
Après quelques minutes de recherche, une main lourde se pose sur son épaule pour l’interpeller. Jean François se retourne et voit un marocain lui tendant une main avec son porte feuille en lui demandant gentiment “est ce que cet objet est à vous?” Jean Francois lui repond oui. le monsieur lui dit et également, “c’est une preuve qu’il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac”.
Jean Francois surpris s’empresse de regarder dedans et s’apperçois qu’il ne manque absolument rien.
Très touché par ce geste il lui donne un bon remerciement.
Voilà !!! je trouve que c’est une super belle histoire qui finie bien et je voulais impérativement la partager avec vous tous en ce beau dimanche.
Je vous souhaite une excellente journée
Amicalement
Vincent Jonca
www.dar-khmissa-marrakech.com

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février 6, 2019

Les femmes soulaliyates verront bientôt le bout du tunnel après un long combat pour leurs droits

Les femmes soulaliyates verront bientôt le bout du tunnel après un long combat pour leurs droits
Trois projets de loi au menu du prochain conseil de gouvernement reconnaissent l’égalité.
Par Leïla Hallaoui

ADFM
DROITS – Tout vient à point à qui sait attendre. Vendredi 8 février, le conseil de gouvernement devrait adopter trois projets de loi devant servir de cadre législatif aux terres collectives. Le premier (62-17) est relatif à la tutelle administrative sur les communautés soulaliyates et la gestion de leurs biens. Le second (63-17) vise à tracer les délimitations administratives des terres des communautés soulaliyates. Tandis que le troisième (64-17) modifie et complète le dahir relatif aux terres collectives situées dans les périmètres d’irrigation. “C’est le fruit d’un long combat”, confie au HuffPost Maroc Saïda Drissi, présidente de l’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM).

Tant attendu, ce cadre législatif répond aux revendications de cette association devenue le porte-voix des femmes soulaliyates partout au Maroc depuis 2007. “Le dahir de 1919 sera enfin amendé pour garantir aux femmes leur droit à l’égalité. C’est ce que nous avions demandé depuis le début de notre combat, il y a plus de dix ans”, se réjouit Saïda Drissi, exprimant sa satisfaction quant à ce nouveau stade franchi par le mouvement revendicatif des soulaliyates. “Le projet de loi 62-17 précise clairement que les terres appartiennent aux hommes comme aux femmes et cela reconnaît l’égalité des sexes, un principe constitutionnel”, rappelle la militante.

Le cadre législatif devra mettre un terme aux règles coutumières communément appelées ”ôrf” et face auxquelles les soulalyates n’ont pas cessé de se battre afin de les abolir. “La loi indique que les membres de la jamaâ (assemblée) propriétaire de terres collectives ont désormais les mêmes droits et devoirs conformément à la constitution. Pour nous, c’est un grand acquis”, reconnait-elle, soulagée.

Un acquis qui intervient quelques années après un autre. “Les circulaires du ministère de l’Intérieur (2009, 2010 et 2012) ont été le premier acquis dans le sens de l’égalité. Les femmes soulalyates ont pu, par la suite, participer au dialogue national sur les terres collectives”, raconte Saïda Drissi, précisant que, dans ce cadre, le mouvement revendicatif des soulalyates avait présenté plusieurs recommandations.

Dans son combat, l’ADFM a mené, en parallèle, un plaidoyer dans le but de constituer une force de proposition. “Nous avions ainsi élaboré un mémorandum que nous avions présenté aux deux Chambres du Parlement pour soutenir ce mouvement”, rappelle-t-elle. Et d’estimer que la loi, pour les soulaliyates, s’assimile presque à “une réparation morale après tant d’années de souffrance”. “Ici, il est surtout question d’assurer aux femmes des revenus, mais aussi de leur permettre de contribuer au développement des régions où elles habitent et à la gestion de la jamaâ qui gère les terres collectives”, soutient-elle.

Légalement, les femmes sont reconnues comme déléguées, appelées “naîba” de la jamaâ. “Pour nous, la volonté politique d’harmoniser la loi avec les principes constitutionnels est un contexte propice pour revendiquer, à présent, l’activation du cadre législatif rapidement”, assure la militante.

ADFM
Le combat ne se termine pas, il continuera notamment auprès du Parlement qui devra bientôt examiner les projets de loi pour les adopter, prévient la présidente de l’ADFM. “Les soulalyates au Maroc se comptent par milliers. Dans notre mouvement, elles sont près de 3.000 femmes à travers les régions et plus particulièrement à Al Gharb. L’enjeu social et économique que représente leur droit d’accès à la propriété en tant que soulalyates impose beaucoup de persévérance”, note Saïda Drissi.

Le plaidoyer se poursuit donc par des séances de formation que l’ADFM assure auprès de ces femmes à travers le Maroc. “La semaine prochaine, on fera escale à Guercif, Berkane et Oujda pour rencontrer d’autres femmes, écouter leur plaintes et renforcer leurs capacités. Ce sera aussi l’occasion de faire le point sur la situation avec les autorités locales”, souligne la militante.

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octobre 25, 2018

Au Maroc, il est très difficile d’être ponctuel, vous voulez savoir pourquoi ?

Au Maroc, il est très difficile d’être ponctuel, vous voulez savoir pourquoi ?
Ghita Tber
PAR GHITA TBER

Les Marocains font toujours la course contre la montre et ont un véritable problème de ponctualité. Soucis de la vie de tous les jours ou question d’habitude ? Quelles sont les véritables raisons qui font qu’au Maroc il est très dur d’être à l’heure et quasiment impossible de devenir une personne ponctuelle. Vous voulez savoir pourquoi ? Les raisons sont énumérées dans cet article.

1. Le Marocain adore dormir
Il est capable de retarder l’heure de son réveil juste pour profiter de quelques minutes de sommeil supplémentaires. Ce n’est pas grave s’il est en retard après…

2. Le Marocain adore papoter
S’il rencontre un voisin, un ami ou quelqu’un de sympa au feu rouge, il peut littéralement refaire le monde avec lui et lui raconter sa vie depuis qu’il est né.

3. Le Marocain a la tête en l’air
Il est capable d’oublier son sac de cours en allant à l’école. Retour immédiat à la maison : perte de temps bonjour.

4. Le Marocain n’arrive pas à avoir la notion du temps
Il sous-estime le temps qu’il va perdre à admirer son plafond ou à caresser son chien.

5. De toutes les manières, train mcha 3lih b7al lberd li derbou
Ce n’est jamais de sa faute… Même s’il fait vite, le retard viendra toujours à lui.

6. Les embouteillages
Partie intégrante de la vie de chaque Marocain.

7. Le Marocain aime prendre soin de lui
Se faire une beauté, ça prend du temps.

8. Parce que le meilleur pour la fin…

TAGSDIFFICILEMAROCMAROCAINPOURQUOIQUESTIONSRAISONS
Ghita Tber
Ghita Tber
Passionnée d’ecriture et éternelle rêveuse, je suis constamment à la recherche de ce qui fera la différence ou donnera du sens à ma vie.

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octobre 25, 2018

À quoi ressemblait la femme marocaine 100 ans auparavant ?

Photos : À quoi ressemblait la femme marocaine 100 ans auparavant ?
Kenza Soulaymani
PAR KENZA SOULAYMANI

Vous vous êtes déjà demandés à quoi pouvait bien ressembler la femme marocaine il y a 100 ans ? Certainement oui, et par chance, nous avons de quoi assouvir cette curiosité.

Il y a un siècle, la femme marocaine était bien différente de celle qu’on croise au quotidien. C’était l’époque qui ne relève pas d’un passé lointain toutefois, la curiosité est grande de connaître cette femme qui était la maman de notre maman et vous en convenez tous. Endurcie par les aléas d’une vie dure et animée par un grand sens de la responsabilité familiale, notre ancêtre est devenue emblématique par son endurance et son humilité débordante.

Ces images immortalisées entre 1912 et 1926 nous viennent du site officiel du musée français Albert Kahn. Des photos aussi exceptionnelles que rares. Regardez !

Quartier du Mellah, Fès

Portrait de la femme d’un tirailleur sénégalais, Fès

Une femme et un petit garçon berbères, Meknès

Une esclave soudanaise, Settat

Deux femmes Meknèsi

Groupe de femmes, Meknès

Deux marocaines juives, Sidi-Kacem

Groupe de femmes marocaines, Meknès

Femmes d’Agadir filant de la laine, Marrakech

Femme à dos de mule avec son enfant, Fès

Portrait d’une femme marocaine, Fès

TAGSCLICHÉSFEMMEHISTOIREMAROCMAROCAINEPHOTOGRAPHIESPHOTOS
Kenza Soulaymani
Kenza Soulaymani  
Journaliste et Social Media Manager chez Welovebuzz.

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octobre 24, 2018

Une chèvre pour aider les jeunes filles du Haut Atlas à rester scolarisées

Une chèvre pour aider les jeunes filles du Haut Atlas à rester scolarisées
Par Sufian ZarktiSufian Zarkti
il y a environ 2 jours
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Crédit photo : D.R
Conscient de la situation difficile des jeunes filles du Haut Atlas à poursuivre leur scolarisation, notamment à cause des longs trajets dangereux pour atteindre les écoles trop éloignées, Simo Elalj, un jeune marocain résident à l’étranger, vient de lancer la campagne de collecte de fonds “You Goat Me” pour aider ces filles et sensibiliser davantage de gens à leur situation.

Le jeune marocain a conçu un jouet en caoutchouc sous forme de chèvre baptisé Gabi la chèvre (Gabi the Goat) et inspiré des chèvres des forêts d’arganiers du Maroc. Un jouet qu’il pourrait vendre pour collecter des fonds et aider ces filles à obtenir une meilleure éducation.

Affecté par la situation des jeunes filles du Haut Atlas, et après avoir trouvé une solution de collecte de fond, Simo Elalj s’est allié à Education for All (EFA), un organisme à but non lucratif qui construit et gère des internats permettent aux filles qui souhaitent poursuivre leurs études de vivre plus près de l’école.

Les fonds collectés grâce à l’initiative “You Goat Me” permettront à l’EFA de fournir gratuitement trois repas nutritifs par jour, douches chaudes, lits confortables, accès aux ordinateurs, support d’étude via un programme de volontariat international ainsi que le transport des jeunes filles afin de se rendre chaque jour à l’école.

Pour promouvoir sa campagne, Simo a décidé d’emmener avec lui Gabi la chèvre partout où il va, pour la présenter au monde entier et donner plus de visibilité à cette initiative.

Crédit photo : gabithegoatofficial

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août 3, 2018

Marhaba 2018

International MRE National
Marhaba 2018: record d’entrées des Marocains du monde à Tanger Med
3 août 2018 La rédaction
Le trafic des passagers au niveau du port Tanger-Med a enregistré un nouveau record à la journée du 29 juillet, a indiqué jeudi un communiqué de l’autorité portuaire de Tanger Med.

Un pic journalier, constituant un nouveau record, a été enregistré durant la journée du 29 juillet correspondant à une entrée au Royaume par le port Tanger Med de 33.091 passagers et 6.849 véhicules, précise la même source.

Elle fait savoir qu’entre le 5 juin 2018, date du lancement de l’opération Marhaba, et le 31 juillet 2018, quelque 474.562 passagers ont regagné le Maroc par le port Tanger Med, ainsi que 125.707 véhicules.

Le communiqué indique que la campagne Marhaba se déroule dans des «conditions optimales et maitrisées», grâce à l’implication de tous les acteurs concernés par l’opération, notamment les autorités locales, la DGSN, la Gendarmerie et les Douanes, sous la supervision directe de la Fondation Mohammed V pour la solidarité.

A noter que 11 navires assurent la liaison maritime Tanger Med-Algesiras (sud de l’Espagne), avec 45 traversées quotidiennes d’une capacité dépassant les 39.000 passagers, en plus de quatre voyages hebdomadaires en partance vers Barcelone (Espagne), Sète (France) et Gênes (Italie).

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