Riad Dar Khmissa Marrakech
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mars 20, 2024

Où trouver les meilleurs plats de street food dans le monde ?

Lorsque vous visitez une ville ou un pays, goûter la cuisine de rue est souvent un une partie essentielle de votre découverte de la culture locale. Qu’il s’agisse de déguster des arepas à Caracas, de goûter le takoyaki à Osaka ou de savourer une pizza – frite ou cuite au four – à Naples, c’est la manière la plus délicieuse de visiter. Les héros et héroïnes culinaires derrière ces mets cuisinent et vous servent peut-être dans de petits locaux discrets ou depuis de modestes chariots, mais les saveurs qu’ils et elles proposent sont monumentales. La street food est aussi connue pour mélanger les cultures, comme avec les plats chinois revisités en Australie ou la façon dont San Diego associe les influences américaines et mexicaines. Découvrez tout cela et bien plus dans ce guide.

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mai 15, 2021

La Covid

Coronavirus au Maroc : La barre des 13 000 guérisons franchie
14 juillet 2020

Cent soixante et un (161) nouveaux cas d’infection au coronavirus (Covid-19) et 508 (cinq-cent-huit) guérisons ont été enregistrés au Maroc au cours des dernières 24 heures, a annoncé mardi le ministère de la Santé.

Ce nouveau bilan porte à 16.097 le nombre de contaminations dans le Royaume depuis le premier cas signalé en mars, et à 13.442 le nombre des personnes totalement rétablies, soit un taux de guérison de 83,5%, a précisé la cheffe du service des maladies épidémiques à la Direction de l’épidémiologie relevant du ministère de la Santé, Hind Ezzine.

Le nombre des morts est passé à 257, avec l’enregistrement de deux nouveaux cas de décès aux dernières 24h, soit un taux de létalité de 1,6%, a-t-elle ajouté.

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juillet 8, 2020

l’OMS reconnait “des preuves” de transmission par l’air

Santé
Covid-19 : l’OMS reconnait “des preuves” de transmission par l’airCovid-19 : l’OMS reconnait “des preuves” de transmission par l’air

Covid-19 : l’OMS reconnait “des preuves” de transmission par l’air
Lundi 6 juillet 2020, plus de 200 scientifiques internationaux ont exhorté l’OMS et la communauté médicale internationale à “reconnaître le potentiel de transmission aérienne du Covid-19”.

Et si nous pouvions propager le coronavirus Covid-19 par le simple fait de parler, ou même de respirer ? Pour la première fois depuis le début de la pandémie, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a reconnu ce mardi 7 juillet que des “preuves émergeaient”sur la transmission par l’air du virus. Une avancée significative dans la recherche qui appelle à prendre de nouvelles précautions sanitaires.

“Nous reconnaissons que des preuves émergent dans ce domaine et par conséquent nous devons être ouverts à cette possibilité, et comprendre ses implications”, a déclaré Benedetta Allegranzi, une responsable de l’OMS.
Particules salivaires ou voie aérienne ?
Tout au long de l’évolution de la pandémie de Covid-19 qui frappe actuellement le monde, l’OMS exhortée par la communauté scientifique, s’accordait pour dire que la transmission du virus s’effectuait par particules salivaires, c’est-à-dire par le “jet” de microgouttelettes émises par les sujets contaminés. Pourtant, ce lundi 6 juillet, un groupe de plus de 200 scientifiques internationaux avait sonné l’alarme dans un article publié dans la revue Clinical Infectious Diseases d’Oxford, sur un autre mode de contagion : la voie aérienne, qui implique des nouvelles recommandations sanitaires.

“La possibilité d’une transmission par voie aérienne dans les lieux publics, particulièrement bondés, ne peut pas être exclue. Les preuves doivent toutefois être rassemblées et interprétées”, a poursuivi Benedetta Allegranzi, recommandant “une ventilation efficace dans les lieux fermés et une distanciation physique. Lorsque ce n’est pas possible, nous recommandons le port du masque”.

Le pic de la pandémie “pas atteint”
Par ailleurs, à l’image de la situation en Amérique latine, ou encore aux États-Unis et bientôt en Afrique, l’OMS alerte également sur la récente accélération du virus, et affirme que nous n’aurions pas encore atteint “le pic de la pandémie” :

“L’épidémie s’accélère et nous n’avons pas atteint le pic de la pandémie”, a également mis en garde le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’une conférence de presse. “Si le nombre de décès semble s’être stabilisé au niveau mondial, en réalité, certains pays ont fait des progrès significatifs dans la réduction du nombre de décès, alors que dans d’autres pays, les décès sont toujours en augmentation”, a-t-il souligné.
Pour rappel : 11,4 millions de cas sont recensés dans le monde, et le virus a tué plus de 535 000 personnes en six mois.

Par Baptiste Régnard le 8 juillet 2020 à 14:08
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#TRANSMISSION

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septembre 12, 2018

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)

Le Maroc a élu son nouveau meilleur sommelier (REPORTAGE)
Il fera rayonner le savoir-faire marocain dans le monde.
Par Yasmine Bidar

ASMA
Abdelghafour Sadik, sommelier à La Mamounia depuis 2015, élu meilleur sommelier du Maroc.
ART DE VIVRE – Niché le long des contreforts de l’Atlas, le célèbre Château Roslane, premier château vitivinicole AOC au Maroc, a accueilli, lundi 10 septembre, la deuxième édition du Trophée Château Roslane du meilleur sommelier du Maroc, organisée par l’Association des sommeliers du Maroc (ASMA). Neuf jeunes chantres du vin ont pris part à une journée d’épreuves théoriques et techniques pour décrocher ce précieux titre, sous l’oeil aguerri d’un jury très sélect.

Ils sont marocains, exercent dans les plus prestigieux hôtels, palaces et restaurants du royaume, sont autodidactes ou encadrés par de grands sommeliers et sont animés par une passion du vin qu’ils ont renforcée au fil d’expériences et d’opportunités. Parmi eux, des finalistes malheureux de l’édition précédente qui se remettent en selle pour succéder à Zakaria Wahby, premier lauréat du concours et assistant chef sommelier au Royal Mansour à Marrakech. Mais aussi de nouveaux profils, jeunes et fougueux comme Kamil Essbai, sommelier de 24 ans en service au Sofitel Marrakech ou encore Sabrina Rahmani, superviseur du restaurant Iloli à Casablanca, première femme à participer à la compétition.

Vin, vedi, vici
Les candidats, tirés à quatre épingles et en rang d’oignons devant la salle des épreuves, ont tous conscience de la délicate mission que leur confèrera le statut de meilleur sommelier, soit positionner le Maroc parmi l’élite de la sommellerie internationale. Le stress est à son apogée mais pas d’animosité entre les compétiteurs qui s’entraident pour des révisions de dernière minute. Une fois la porte franchie, ils s’attarderont sur plusieurs épreuves écrites, à savoir un questionnaire théorique, une description organoleptique d’un vin rouge et d’un vin blanc et l’identification de trois spiritueux, tout cela en français, langue officielle de la compétition.

ASMA
“C’était rude, il y avait beaucoup de questions de culture générale très compliquées mais chacun a ses points forts et ses points faibles. Je préfère la pratique et j’espère faire mes preuves si je suis sélectionné pour la finale” nous confie Rabi Ahsina, sommelier au Fairmont Royal Palm de Marrakech et troisième finaliste de la précédente édition. Mais malgré ses efforts, il n’a pas été sélectionné pour la phase finale aux côtés de Abdelghafour Sadik de La Mamounia, El Mokhtar Alia du Royal Mansour et Kamil Essbai.

“On attend de vous que vous ayez cette classe, que vous représentiez la sommellerie” indique aux trois finalistes avant la très redoutée épreuve pratique Serge Dubs, meilleur sommelier de France, d’Europe et du monde dans les années 80 et membre du jury du Trophée.

ASMA
Michèle Chantôme, Serge Dubs et Thierry Collard, membres du jury en pleine correction des épreuves.
De retour dans la salle, ils se succèdent devant le jury et jouent le rôle de chef sommelier d’un restaurant en respectant le protocole inhérent à leur métier. Associations de vins aux mets d’une carte, service d’un vin pétillant, service d’un vin jeune en carafe, analyse de vins et spiritueux… Les finalistes, pleins de prestesse, s’agitent, font valser les liqueurs dans les verres, questionnent leur nez et leur palais et enchaînent des gestes techniques presque chorégraphiques.

Après de longues délibérations (et corrections), le verdict est tombé. C’est Abdelghafour Sadik, numéro deux de l’édition précédente, qui remporte avec succès les épreuves et devient ainsi le meilleur sommelier du Maroc. Le jeune homme a séduit le jury par son élégance naturelle, son odorat très fin et sa connaissance poussée des vins tant marocains qu’étrangers.

FACEBOOK/SOMMELIER DU MAROC
Abdelghafour Sadik, le meilleur sommelier du Maroc 2018 Trophée Château Roslane, entouré par Mr Serge Dubs, meilleur sommelier du monde 1989, parrain et président du jury, Michèle Chantome, présidente de l’association des sommeliers du Maroc et Mikael Rodriguez, chef sommelier de l’hôtel La Mamounia.
“Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici”
Sommelier à La Mamounia à Marrakech depuis 2015, il découvre ce métier lors de ses services en salle à défaut d’avoir fait une formation en école, puisque le métier n’est pas reconnu ici. “J’ai découvert ma passion pour le vin lorsque j’ai commencé à travailler dans l’hôtellerie mais je ne pensais pas en faire un jour ma profession car c’est un métier qui n’est pas facile, avec beaucoup d’obstacles dont l’apprentissage qui n’est pas favorisé ici au Maroc où il n’existe pas d’écoles qui nous y forment” explique au HuffPost Maroc le lauréat.

“J’ai de la chance toutefois car je travaille à La Mamounia, sous les ordres de mon chef sommelier Mikael Rodriguez qui m’a beaucoup appris et qui était professeur de sommellerie en Europe et en France. Pour ce concours, j’ai appliqué strictement les règles que je suis dans mon métier au quotidien, et je pense que ça a plu au jury. Maintenant, avec ce titre, je dois être prêt pour représenter le Maroc comme il faut à l’international” poursuit-il, déterminé.

Il souligne par ailleurs les interdits religieux et les préjugés autour de ce métier qui rendent la tâche un peu plus ardue. “Du point de vue de la religion, il est assez compliqué d’être sommelier ici, et c’était aussi assez difficile de l’annoncer à ma famille car consommer de l’alcool, c’est déjà très mal vu alors en être un expert…” confie Abdelghafour, qui souhaite que le métier soit mieux compris au royaume et s’attèlera à en faire la promotion.

Faire rayonner le savoir-faire marocain
Une mission que se donne aussi l’ASMA, chapeautée par l’indéboulonnable Michèle Chantôme, figure du vin au Maroc, qui forme régulièrement dans ses locaux et sur le terrain des jeunes au métier de la sommellerie via des ateliers et des rencontres avec des oenologues et des sommeliers de renom.

Créée par en 2012 par ses soins, l’association a permis au royaume de se doter de la première union de sommeliers d’Afrique et d’intégrer l’élite de la sommellerie internationale qui compte pour l’heure une cinquantaine de pays. “Nous sommes ravis de voir que l’objectif de l’ASMA, qui est de faire connaitre le métier de sommelier au Maroc, est respecté. Nous souhaitons encourager davantage de passionnés à prendre part à notre concours, il y a des talents évidents dans ce pays qu’il faut mettre en lumière” nous explique-t-elle.

ASMA
Même son de cloche du côté de Mikael Rodriguez, chef sommelier de La Mamounia et mentor du gagnant de cette édition. “Certains candidats, comme Abdelghafour, ont la chance d’évoluer dans des établissements hôteliers où il y a une toute une équipe performante et reconnue de sommeliers qui peut les guider, tandis que d’autres doivent apprendre souvent seuls. C’est pour ça que l’ASMA existe, pour pouvoir permettre à ces jeunes autodidactes de se former auprès de professionnels pour comprendre l’histoire du vin, le service, le stockage, la vinification car leur potentiel est énorme. On essaye de leur apporter un peu de notre savoir et avec ce concours, on forme aussi des maîtres de demain, qui perpétueront l’apprentissage” avance-t-il.

Pour l’heure, son petit protégé est déjà prêt à assumer ses responsabilités de meilleur sommelier du Maroc et se dit déterminé à faire rayonner le savoir-faire marocain dans le monde. L’occasion lui sera d’ailleurs donnée en mars prochain à Anvers, au concours du meilleur sommelier d’Europe auquel il participera avec son prédécesseur Zakaria Wahby.

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août 3, 2018

Marhaba 2018

International MRE National
Marhaba 2018: record d’entrées des Marocains du monde à Tanger Med
3 août 2018 La rédaction
Le trafic des passagers au niveau du port Tanger-Med a enregistré un nouveau record à la journée du 29 juillet, a indiqué jeudi un communiqué de l’autorité portuaire de Tanger Med.

Un pic journalier, constituant un nouveau record, a été enregistré durant la journée du 29 juillet correspondant à une entrée au Royaume par le port Tanger Med de 33.091 passagers et 6.849 véhicules, précise la même source.

Elle fait savoir qu’entre le 5 juin 2018, date du lancement de l’opération Marhaba, et le 31 juillet 2018, quelque 474.562 passagers ont regagné le Maroc par le port Tanger Med, ainsi que 125.707 véhicules.

Le communiqué indique que la campagne Marhaba se déroule dans des «conditions optimales et maitrisées», grâce à l’implication de tous les acteurs concernés par l’opération, notamment les autorités locales, la DGSN, la Gendarmerie et les Douanes, sous la supervision directe de la Fondation Mohammed V pour la solidarité.

A noter que 11 navires assurent la liaison maritime Tanger Med-Algesiras (sud de l’Espagne), avec 45 traversées quotidiennes d’une capacité dépassant les 39.000 passagers, en plus de quatre voyages hebdomadaires en partance vers Barcelone (Espagne), Sète (France) et Gênes (Italie).

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juin 27, 2018

Palmeraie Golf Palace accueille le Tournoi Officiel des Chefs Afrique

Palmeraie Golf Palace accueille le Tournoi Officiel des Chefs Afrique
Mercredi 27 Juin, 2018 – 17h13min

Palmeraie Golf Palace accueille le Tournoi Officiel des Chefs Afrique
C’est en cuisine et en pâtisserie que les chefs d’Afrique vont s’affronter du 28 juin au 1er juillet au Palmeraie Golf Palace de Marrakech. Quatorze équipes de chefs africains vont tenter de décrocher le « Bocuse d’or d’Afrique » le 30 juin ou la Coupe d’Afrique de la pâtisserie le 29 juin, tandis que quarante-huit candidats vont « se battre » le 1er juillet à coup de chocolat, sucre et autres cuisines du monde dans le cadre du tournoi régional des chefs pour la région Marrakech & Sud, avec à la clé la remise du Trophée Rahal. Organisé pour la première fois sur le continent par Rahal Event, le Bocuse d’Or est la plus prestigieuse compétition de gastronomie du monde, considérée comme la Coupe du Monde de la discipline qui réunit la crème des chefs sur les cinq continents. Deux pays africains seront automatiquement qualifiés pour le « Bocuse d’or Monde », qui se déroulera à Lyon en janvier 2019. Le Maroc sera représenté par le jeune Aissam Ait Ouakrim, chef exécutif du Palais Soleiman de Marrakech.

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