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juillet 31, 2019

Mous Lamrabat, ce photographe marocain qui reconfigure les clichés

Mous Lamrabat, ce photographe marocain qui reconfigure les clichés
Arts
LE 31 JUILLET 2019
Mous Lamrabat, photographe marocain de 36 ans, décrypte avec nous les symboles cachés derrière ses photos atypiques.

Par Soundous Chraibi

Instagram / @Mouslamrabat

7 min
Le 22 juin, l’exposition “Dounia”, signée par le duo Artismous débutait à la Voice Gallery de Marrakech. En novembre 2018, le créateur de mode Artsi Ifrach et le photographe Mous Lamrabat, deux artistes insolites aux styles complémentaires, ont décidé de joindre leurs efforts et leurs talents pour donner naissance à un duo artistique 100% marocain. En parallèle, chacun d’entre eux poursuit sa carrière ainsi que ses projets personnels.

Des débuts sous le signe de l’anticonformisme
“All the way from Mousganistan” – c’est ce qu’indique la biographie Instagram du photographe Mous Lamrabat. Il naît en 1983 à Temsamane, une petite commune rurale du Rif. Avant même de savoir faire ses premiers pas, il s’envole avec sa famille pour la Belgique, où il grandira.

Mous Lamrabat débute sa carrière artistique en 2010 en tant qu’assistant, après avoir fini ses études d’architecture d’intérieur. “J’ai obtenu mon diplôme à 27 ans et j’ai même reçu une belle offre d’emploi, mais j’ai laissé tomber. Je me suis tout simplement rendu compte que ce n’était pas un domaine où je pouvais exprimer ma créativité comme je le souhaitais. Alors j’ai commencé la photographie, bien que je ne savais pas réellement comment ça marche. Mes parents pensaient que j’étais devenu fou”, nous confie Mous Lamrabat.

Cependant, même après s’être fait une place dans le domaine en tant que photographe de mode, le problème restait le même : “Il fallait se conformer à certaines normes, faire ce qui est était attendu. Et ça non plus, ce n’est pas réellement ce que je voulais faire. Alors j’ai laissé tomber l’agence avec laquelle je travaillais. Financièrement ça a été une période très dure, mais ça m’a permis de me concentrer sur moi et sur mon travail personnel. A ce moment-là de ma vie, j’ai compris qu’un investissement, ce n’est pas toujours de l’argent”.

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L.ove R.ules E.verything A.round M.e

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Mélanges de genres et mariage de cultures
Des photos authentiquement marocaines, inspirées des traditions de son pays ainsi que du patrimoine culturel qui les accompagne, c’est ce que Mous Lamrabat met principalement en avant. La singularité de son travail, c’est aussi ce contraste entre le traditionnel et le moderne, la juxtaposition de deux mondes qui semblent à première vue complètement opposés, mais qui une fois combinés, créent une mystérieuse harmonie. Burqa à McDo, gandoura à Gucci, kaftan à Disney…

Il explique : “Ce mélange, c’est celui dans lequel j’ai grandi. Même si j’ai été élevé à l’étranger, je viens d’une famille traditionnelle, qui a toujours voulu s’assurer que je ne délaisse pas les valeurs et l’héritage culturel qui m’ont été transmis. De mon côté, quand j’étais au primaire, je ne voulais pas être étiqueté comme étant le petit Marocain. Je voulais un t-shirt Bob l’éponge comme les autres ! Plus tard, je me suis rendu compte que l’on n’avait pas besoin de choisir, que le traditionnel peut être moderne et fashion. Les gens pensent qu’en suivant la mode occidentale, ils auront l’air plus class et plus stylés. C’est faux, parce qu’on ne devrait pas toujours avoir à choisir entre une chose et une autre. Nous aussi, on peut faire de la mode à partir de nos propres traditions. Quand je vois des gens mettre un saroual avec la dernière paire de chaussures à la mode, je me dis que ça c’est le Maroc. C’est notre mode, et j’adore ça”.

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Prince bob

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Des voiles et des tissus, tout un symbole
Une autre constante dans le travail de Mous Lamrabat : des portraits aux visages cachés. Sa spécialité. Masques, bandeaux sur les yeux, longs voiles et tissus de couleurs, unis ou alors signés Gucci et Louis Vuitton, les traits d’un visage apparaissent rarement, et l’attention est rarement focalisée sur le corps du mannequin. “Je trouve qu’un visage attire beaucoup trop l’attention, et qu’il a tendance à détourner nos regards du reste de la photo. C’est toujours la première chose que l’on voit et sur laquelle on se focalise le plus. Moi, je veux être en mesure d’orienter et de diriger le regard de mon spectateur comme je le souhaite, lui faire voir un tout, et pas seulement un visage”, nous explique le photographe.

“Ensuite, il y a aussi le mystère qui réside dans ce qui est caché. J’ai remarqué que pendant les expositions, les gens passent beaucoup plus de temps devant les photos avec des visages cachés. A partir du moment où l’on sait qu’il y a un visage, mais qu’on ne peut pas le voir, notre créativité est tout de suite stimulée. On peut s’imaginer tout et n’importe quoi. En fait, j’ai compris que lorsque je cache un visage ou une personne, ça devient la personne qui regarde la photo”, poursuit l’artiste.

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Moroccan dinner 🍖

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Pour des raisons aussi bien symboliques qu’esthétiques, le voile est donc rapidement devenu un élément récurrent de ses photographies. Sur la même lancée, on y retrouve également beaucoup de niqab et de burqas, ces longs tissus noirs recouvrant l’intégralité du corps de la femme.

Ces vêtements alimentent des débats passionés depuis plusieurs années, mais Mous Lamrabat tient à signaler un point important : pas de dimension religieuse ou politique dans son travail. “Il y a quelques dizaines d’années, le voile était un accessoire de mode – ça ne dérangeait personne. Pour moi, c’en est encore un, et c’est pour ça que j’aime m’en servir”.

Un style tout droit sorti du “Mousganistan”
“Mousganistan”, c’est le nom que le photographe a donné à son univers, celui dans lequel il puise son inspiration. Un univers décalé et original. Pour l’artiste, le beau et l’esthétique restent essentiels et représentent une grande partie de son travail. “J’ai commencé en tant que photographe de mode, donc oui, la dimension esthétique a toujours fait partie de mon travail. Je pense que c’est important de pouvoir représenter certaines choses qui valent par leur beauté, et qui sont belles en elles-mêmes”, nous confie-t-il.

“Mais il n’y a pas que ça. Au-delà de la dimension esthétique, je pense que la vraie beauté de mon travail apparaît lorsque je regarde les commentaires des gens sur mes photos : ils y voient tous quelque chose de différent. J’ai beaucoup appris sur mon travail à travers la perception que les gens avaient dessus”, s’enthousiasme encore Mous Lamrabat.

En arrière-plan, ses prises présentent souvent un fond blanc ou noir, sobre et uni. Il n’est pas rare de retrouver aussi un papier peint Gucci customisé aux couleurs du drapeau du Maroc. Il lui arrive également d’opter pour un ciel bleu, un désert ou de vastes étendues pour restituer l’impression d’infini, et très rarement pour des photos prises en intérieur.

Pour Mous Lamrabat, la notion de pureté est cruciale parce que comme il nous l’a si bien dit, ce sont les choses pures qui perdurent au fil du temps : “Je veux faire des photos intemporelles. Mousganistan, c’est un monde idéal où chacun peut revenir à la plus pure version de soi”.

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Sa prochaine exposition au Maroc est prévue pour 2020. Après “Mousganistan“ le 31 janvier à Sint-Niklaas en Belgique, ce sera sa première exposition personnelle dans son pays natal. Son ambition pour ce projet : transmettre un art que l’on ne retrouve pas seulement dans les galeries ou les salons. “Je veux que cette exposition soit accessible à tout le monde – surtout à la jeunesse et aux artistes qui se sentent un peu perdus, et qui ne savent pas vraiment par où commencer. Je veux que les gens qui viendront voir cette exposition soient ceux qui en ont le plus besoin”.

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juillet 29, 2019

Pourquoi ne pas utiliser un shampoing solide au Ghassoul ?

Pourquoi ne pas utiliser un shampoing solide au rhassoul ?

Pourquoi ne pas utiliser un shampoing solide au rhassoul ?
Le Rhassoul, ou Ghassoul, est une argile naturelle, minérale que l’on trouve dans des gisements du Moyen Atlas au Maroc. Elle est riche en Fer, Potasium, Magnésium, Sodium, Pro-vitamine et Oligo-éléments.

Cet argile volcanique originaire du Maroc et mélangée à de l’eau jusqu’à obtenir une pâte fluide, » possède des propriétés absorbantes, régénérantes et lavantes, et ce sans traitement chimique ni conservateur.

Le rhassoul respecte le film hydrolipidique de vos cheveux. C’est un lavage ultra doux et non agressif qui n’attaque pas les glandes sébacées… Idéal pour détoxifier le cuir chevelu, avec ses nombreux minéraux absorbent et régulent l’excès de sébum il est auusi .

En savoir plus le212.info/Le-rhassoul-Un-shampoing

Source
consoglobe.com

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juillet 29, 2019

Voici les dates de la 18e édition du Festival international du film de Marrakech

MAROC
29/07/2019 09h:58 CET
Voici les dates de la 18e édition du Festival international du film de Marrakech
Une nouvelle édition qui promet de constituer un événement à la fois “populaire et professionnel majeur”.
Rédaction du HuffPost Maroc
Voici les dates de la 18e édition du Festival international du film de
SIFEELAMINE
CINÉMA – Le festival de la maturité? La 18ème édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM) se tiendra du 29 novembre au 7 décembre 2019.

Une nouvelle édition qui promet “de constituer un événement à la fois populaire (110.000 personnes ont assisté aux projections en 2018) et professionnel majeur grâce, notamment, aux nouvelles sections et activités programmées dans le cadre du Festival”, annonce le FIFM dans un communiqué.

Outre la compétition officielle, le Festival maintient son Panorama du cinéma marocain et reconduit le concept de “Conversation With”. Ce dernier permet aux professionnels et au grand public “d’aller à la rencontre de grands noms du cinéma mondial”. Des séances d’échange et de débat qui ont attiré à chaque fois en 2018 près de 500 personnes, entre professionnels, étudiants, journalistes et passionnés de cinéma.

Autre nouveauté de 2018 reconduite cette année, “Les Ateliers de l’Atlas”, le programme industrie et développement de talents du FIFM.

Les programmes spéciaux au profit des personnes malvoyantes ainsi qu’au profit du jeune public feront aussi leur retour. Lors de la 17ème édition, 3500 élèves de la région de Marrakech, accompagnés de leurs instituteurs, ont ainsi pu suivre les films programmés dans cette section. Parmi ces enfants “certains accédaient pour la première fois de leur vie à une salle de cinéma”, affirme le communiqué.

En 2018, le FIFM faisait son comeback à Marrakech, après une année de trêve. A cette occasion, plusieurs grands noms du cinéma mondial étaient invités pour l’occasion comme Agnès Varda, Robert De Niro ou encore Martin Scorsese.

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juillet 28, 2019

Glace ou sorbet : comment choisir ?

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Glace ou sorbet : comment choisir ?
Vanille, fraise, chocolat, ou pistache ? Comment savoir si ces parfums sont de la glace ou du sorbet ? Et surtout quelles sont les différences entre les deux ?

Rédigé par Emma, le 28 Jul 2019, à 12 h 25 min
Glace ou sorbet : comment choisir ? PrécédentSuivant

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Escale indispensable pendant les vacances d’été mais aussi tout le long de l’année, la visite chez le glacier mêle souvent gourmandise et découverte. Devant les bacs colorés, on hésite souvent longuement en salivant : fraise ou citron, chocolat ou coco, glace ou sorbet ?

Glace ou sorbet, sachez faire la différence
Glaces et sorbets ont des compositions bien différentes, qui agissent sur leur texture et leur goût. Ces compositions sont réglementées par la profession des entreprises des glaces et des sorbets.

glace ou sorbet
Les sorbets aux fruits rouges, grands classiques de l’été © Karolina Awizen

Le sorbet = eau + sucre + fruits (ou légumes)
La teneur en fruits (ou légumes) doit dépasser les 25 %. Les sorbets sont donc rattachés aux parfums de fruits (fraise, framboise, melon, mirabelle, mûre, ananas, cerise, pêche, tomate, etc.) ou de légumes.

Mais on fabrique aussi des sorbets plus insolites, comme au cacao ou même au yaourt pourtant traditionnellement réservés à la glace. Le fameux glacier parisien de l’île Saint-Louis, Berthillon, propose 40 parfums différents de sorbets, dont quelques uns très originaux comme « thym-citron », ou encore « cacao au whisky ».

Notre recette de sorbet à la framboise sans sorbetière

On trouve aussi de plus en plus de sorbets aux légumes et aux herbes, dans les assiettes des restaurants.

La glace = lait + sucre + matières grasses + arôme
Dans le lait, ce sont les protéines qui sont nécessaires à la fabrication de la glace. Mais ces protéines peuvent venir d’autres sources : végétales, comme le soja, ou encore les oeufs, par exemple.

Même chose pour les matières grasses : elles aussi peuvent provenir d’autres sources (végétales ou oeuf) que le lait. Il est donc possible de fabriquer des glaces pour les intolérants au lait de vache et pour les végétaliens, mais ces produits restent rares et surtout distribués dans les magasins bio et sur les sites spécialisés.

Les parfums comme vanille, café et chocolat sont toujours des glaces. Les fruits secs comme les noisettes, les noix, les amandes, les pistaches se prêtent bien à la préparation des glaces, tout comme les confiseries et les bonbons (caramel, nougat, etc).

Notre recette de la glace tofu – chocolat croquant

Et la crème glacée, c’est quoi exactement ?
C’est la glace « tout lait ». La crème glacée est le résultat de l’association de matières grasses exclusivement laitières, de protéines laitières, de sucres et/ou de matières grasses et/ou de protéines d’oeuf. Elle doit contenir au minimum 5 % de matières grasses laitières.

La glace au yaourt contient-elle vraiment du yaourt ?
Oui ! Mais il est rajouté au dernier moment dans la recette, après la pasteurisation, pour que sa flore bactérienne caractéristique (Lactobacillus bulgaricus et Streptococcus thermophilus) soit bien conservée vivante, comme le veut la législation sur ce produit spécifique.

glace ou sorbet
La glace peut contenir des ingrédients d’origine animale © Rimma Bondarenko

Du point de vue nutritionnel
Les sorbets sont moins riches en calories que les glaces qui contiennent des protéines et des lipides. Au contraire, les sorbets ne contiennent aucune matières grasses.

100 g de sorbet = 134 kcal
100 g de glace = 180 kcal
100 g de bâtonnet type Esquimau = 130 kcal
100 g de glace à la vanille en cornet = 175 kcal.
Mieux vaut donc privilégier les sorbets plutôt que les glaces, si l’on surveille sa ligne. Mais attention aux taux de sucre des sorbets, souvent plus importants, 30 % de sucre dans les sorbets, contre 25 % dans les glaces.

Les glaces sont des desserts gourmands, à manger pour le plaisir, en dégustation, donc de temps en temps, histoire de les mieux les apprécier.

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juillet 24, 2019

L’ÉLÉGANCE FÉMININE À ”ÉTOFFE DES SENS, RÉSONANCES, SERGE LUTENS, YVES SAINT LAURENT”

MARRAKECH : L’ÉLÉGANCE FÉMININE À ”ÉTOFFE DES SENS, RÉSONANCES, SERGE LUTENS, YVES SAINT LAURENT”

PAR LA RÉDACTION

 

JUL 23 À 11H12 

 

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Rabat – Le Musée Dar El Bacha – Musée des confluences à Marrakech accueillera, à partir du 25 juillet, l’exposition temporaire “Étoffe des sens, résonances, Serge Lutens, Yves Saint Laurent”, annonce la Fondation nationale des musées (FNM).

Cette exposition mettra l’emphase sur l’impact de la ville de Marrakech sur Yves Saint Laurent et Serge Lutens, dont les trajectoires se croisent dans la Cité ocre ayant toujours nourri leurs imaginaires.

Elle met en exergue une collection de caftans, acquise par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé, démontrant leur admiration pour ce vêtement considéré comme un repère de l’identité culturelle du Royaume, précise un communiqué de la FNM, ajoutant qu’en résonance, la série de photographies réalisée dans les années 80 par Serge Lutens sur les gestes et les ingrédients traditionnels de la beauté témoigne d’une recherche de nouvelles inspirations.

Metteur en scène de la beauté sous toutes ses formes, d’origine française, Serge Lutens tombe sous le charme de Marrakech en 1968, deux ans après le premier voyage d’Yves Saint Laurent et Pierre Bergé au Maroc. 

Tous deux voués à l’univers féminin, le Maroc ne cessera de les inspirer dans une quête sans fin de la beauté exprimée avec une audace revendiquée et assumée.

Dar El Bacha – Musée des Confluences constitue le deuxième musée à Marrakech géré par la FNM.

Son luxueux décor, ses belles façades ouvragés, ses boiseries et plafonds en bois de cèdres, ses zelliges inspirés de l’architecture arabo-andalouse font de lui un espace muséal capable d’abriter une manifestation plongée dans l’art, la mode ou encore la photographie. 

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juillet 19, 2019

Concours de la meilleure Calèche de Marrakech

Concours de la meilleure Calèche de Marrakech

Samedi 15 juin 2019 s’est déroulé la 20ème édition du concours des chevaux de calèche de la ville de Marrakech! Une manière de récompenser les plus belles calèches, emblème de la ville rouge.

Ce concours des chevaux de calèche a été organisé après plusieurs visites d’inspection vétérinaire et technique, effectuées par une commission composée d’une équipe de la SPANA, des autorités locales et des services techniques de la ville de Marrakech, de la SOREC ainsi que l’association des professionnels de la calèche.

Cet événement s’est déroulé en présence de M. le Wali de la région de Marrakech-Safi, M. le Consul Général de France à Marrakech et les membres du bureau de la SPANA du Maroc. Une très belle initiative !

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